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Juifs non recensés dans la Sarthe pendant la guerre mais y résidant
ADASS Claude
AJZENSZTARK Grima née KONIGSBERG
ANIKSZTEJN Bernard
BARMAN Henri
BELCHATOWSKI Getrude née SCHULLER
BENMAOR Daniel
BERKOVITS Hermine née WIEDER haut de page
BROUDO Nicole
DELPART Raphaël
DUMESNIL Jacqueline
FECHTENBAUM Marcel haut de page
FRAGMAN Marguerite née SCHNEEBAUM
FREILICH Madeleine haut de page
GOTLIB Rachel
HEMPEL Danièle
HOSSEIN Robert
JOZSEF Robert
KOZIENICKI Szyfra née SIBERSZTEIN
KRAUZ Denise
KRAUZ Henriette
KRAUZ Rachel
KREINIG Chauva née BELCHAKOWSKI
KSIAZNICKI Brandla née PARENCEWICZ
KUPELSTEIN Marcelle haut de page
LIEBESKIND Bajla née MILSZTAIN
LICHTEMBAUM Malvina née WAJSBERG
LINDWASSER Léa
MANDELBAUM Frida née SINGER haut de page
NISENBAUM Rywka née GURFINKIEL
ORTMAN Raymond
PIKKEL Anna
PIKKEL Malka née DEUTSCH haut de page
PRAJS Georges
PRUSSAC Rachel née SINGER SHLESINGER
REZNIK Cécile
REZNIK Christiane
REZNIK Liliane
RUBINSZTEIN Monique haut de page
SCHLEVIN Claude
SELENICK Bernadette
SHAPIRA Léa née REBHUN haut de page
SIEGEL Kissiel
SIEGEL Maurice
SIEGEL Sophie
SNIADOWER Émile
SNIADOWER Sarah
SPAC Alice
SPAC Jacques
SPAC Suzanne
SPECULANTE Joseph haut de page
STRAZMAN Marcel
SUKIENNIK Serge
TABARISKI Chaja Bajla née SZTANG haut de page
VASERSZTAJN Danièle
WAJSBROT Jean
WELT Georgette
ZGIERSKI Jacques
les déportés juifs de la Sarthe 
Bonsoir,
Professeur d’histoire au collège Saint-Julien au Mans, je suis à la recherche d’informations sur les enfants juifs cachés par les sœurs, enseignantes dans notre établissement pendant cette période sombre de notre histoire. Certains de mes élèves de 3eme, inscrits au Concours national de la Résistance et de la Déportation, souhaiteraient développer ce sujet, essentiel à leurs yeux. Aussi, nous aimerions savoir si, parmi tous vos témoignages, certains auraient évoqué ces enfants cachés au sein de notre établissement.
Je vous remercie par avance.
Mme NICOLAS-SLOTA
Bonjour,
J’ai fouillé dans tous mes documents de recherche et malheureusement je n’ai trouvé aucune trace d’enfants cachés dans votre établissement. Je ne dis pas qu’il n’y en a pas eu mais les archives ne possèdent pas de documents confirmant leur présence. Il est possible que vous possédiez dans votre établissement des documents de cette époque qui relatent ces faits. Mais l’époque imposait la discrétion et pour que ces enfants soient en toute sécurité les traces écrites étaient rares.
Avec mes regrets.
Je vous remercie sincèrement pour le temps que vous avez consacré à ses recherches.
Les miennes sont également sans réponses pour le moment.
La Mère Supérieure de la communauté d’Evron avait évoqué le secret des sœurs, enseignantes à cette époque au collège Saint Julien. Elles avaient fait le serment à leur Évêque, Mgr Grente, de garder le silence.
Je garde espoir. Peut-être finirons-nous par retrouver un descendant de ces enfants cachés ?
Je vous renouvelle mes remerciements. Votre travail est essentiel pour nous tous, élèves et enseignants.
Cordialement,
E. NICOLAS-SLOTA
Mes cousins – Rene et Daniel Herszbaum, enfants, vivaient a Beaufay., Quand leur mere a ete deportee, Ils etaient caches par Mme Braqui. Apres la guerre, Ils etaient mis au chateau de Mehoncourt.
J’ai consacré une fiche pour René et Daniel Herszbaum à la rubrique des « non déportés » car ils n’étaient pas cachés des autorités jusqu’à l’arrestation de leur mère
https://lesdeportesdesarthe.wordpress.com/herszbaum-rene/
https://lesdeportesdesarthe.wordpress.com/herszbaum-daniel/
ainsi que pour madame Bracchi dans les « personnages »
https://lesdeportesdesarthe.wordpress.com/bracchi-leontine-gabrielle-nee-therouin/
Merci des informations supplémentaires que vous pourriez me fournir.
Bien à vous.
Je suis la cousine anglaise de Rene et Daniel et de Dominique Peignoux. J’ai toujours connu l’histoire de Rene et de Daniel, mais j’ai lu les mots de Rene pour la premiere fois l’annee derniere. J’ai decide de dessiner un roman graphic de leur histoire, du point de vu de Rene. Jusqu’a maintenant j’ai dessiner la partie de cette histoire qui s’est passe a Paris – une trentaine de dessins. Pourriez vous me fournir avec les adresses et peut-etre des images des lieux ou ils sont restees pendant la guerre? J’ai déjà beaucoup d’images du château de Mehoncourt. Aussi je voudrais savoir a quelle station seraient-ils arrives de Paris ? Vous remerciant a l’avance Caroline Stone
Contacté sur ce sujet par Mr Olivier Guivarc’h de Guérande(44) je vous signale que ma soeur et moi même(enfants juifs) avont été cachés dans une ferme dans la Sarthe en 1943 ou 1944.Les fermiers s’appelaient Mr et Mme Ferrand. Nous ne savons pas où !
C’est un réseau parisien qui nous avait emmené.
Je serais interessé si vous avez des renseignements supplémentaires.
Merci pour ce que vous faites.
Claude Adler
Monsieur Adler je suis désolé mais je n’ai, jusqu’à présent, pas retrouvé trace de vous et de votre soeur dans les documents d’archive que j’ai pu consulter. Mais cette situation est normale car vous étiez véritablement bien cachés à cette époque ce qui vous a permis d’échapper à un sort funeste. Si je vous trouve je ne manquerai pas de vous contacter.
Bonjour,
Ce travail est admirable et très complet
Il serait peut-être souhaitable d’ajouter une section sur les « Justes » (la section « cachés » les mentionne, mais il serait bien d’avoir une section dédiée
Merci de votre remarque. J’y pense depuis un moment mais n’ai trouvé la façon optimale de la présentation. Je viens d’ajouter la liste des Justes de la Sarthe recensés par le Comité Français pour Yad Vashem à la date d’aujourd’hui. Je compléterai par les personnes sauvées dans un deuxième temps
J’ai modifié la présentation. Il reste à faire les liens avec les personnes cachées
Merci pour votre réponse très rapide – et je trouve la présentation très bien (le seul ajout pour l’avenir serait peut-être de pouvoir avoir des informations sur les Justes en cliquant sur les noms)
J’ai bien conscience qu’il est plus facile de donner des conseils que de les mettre en oeuvre (ayant moi-même des connaissances limitées en informatique)
Décidément vous lisez dans mes pensées. Quand j’ai fait le tableau c’est ce que je me suis dit. Je vais le faire mais un peu de patience.