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Sur ce site vous trouverez le dernier état de mes recherches sur la déportation des juifs dans le département de la Sarthe. J’y ai recensé sous l’intitulé :

  • « Visages » les 285 portraits trouvés des Déportés Sarthe et hors Sarthe
  • « Déportés Sarthe » 278 personnes [dont 10 survivants] qui ont été arrêtées dans la Sarthe ou qui, arrêtées dans un autre département, ont ensuite transité par un camp ou une prison de la Sarthe
  • « Déportés hors Sarthe » 167 personnes [dont 6 survivants] qui sont nées ou qui ont été recensées à un moment en Sarthe mais ont été ensuite arrêtées dans un autre département et n’y ont pas transité par la suite
  • « Non déportés » les 582 personnes qui ont été à un moment recensées en Sarthe mais qui ont échappé à la déportation
  • « Cachés » les 285 personnes [nombre provisoire] présentes dans le département dont je n’ai pas trouvé trace de recensement et qui n’ont jamais été déportées
  • « Les Justes de la Sarthe » 84 reconnus à la date d’aujourd’hui par le Comité Français  pour Yad Vashem ainsi que les 119 personnes sauvées et les 31 communes où elles résidaient
  • « Les personnages » les 107 personnes ayant participé aux évènements de cette période, préfets, sous-préfets, maires, gendarmes, militaires allemands… (en cours d’élaboration)

Les informations y figurant proviennent de plusieurs sources :

J’ai voulu faire « revivre » toutes ces personnes en regroupant en un seul endroit  le maximum d’informations connues. En particulier je publie ce que nous apprennent les documents d’archive, mais également les sites internet ainsi que les informations fournies par des historiens ou des proches des victimes. Je les fais figurer par ordre chronologique. A la fin de chaque ligne vous trouverez entre parenthèses la source de l’information et s’il s’agit de documents d’archives, la cote et l’origine de ces archives du type (AD72-423W45) [Archives Départementales de la Sarthe cote 435W45].

J’ai toujours cherché à recouper mes sources afin de crédibiliser le site. Mais vous pouvez trouver, assez rarement, des éléments contradictoires venant de sources différentes. C’est le fait que je ne suis pas actuellement en mesure de savoir lequel est le bon. Je les fais donc figurer simultanément pour l’instant jusqu’à  ce qu’il me soit possible de trancher.

Afin d’alléger la présentation, les prénoms et noms des personnes ne figurent que la première fois qu’elles sont  citées. Si elles interviennent plus tard je ne les nomme pas à nouveau. Ce n’est qu’en cas de changement, pour un préfet ou pour un enquêteur par exemple, que j’indique les prénom et nom du nouvel intervenant.

En cliquant sur les liens de couleur marron vous obtenez le document ou le site d’où provient l’information.

En cliquant sur la loupe située à gauche de « Accueil » il suffit de taper le nom recherché puis ↩ sur le clavier pour obtenir les résultats de la recherche.

Les photos proviennent des mêmes sources à l’exception de quelques unes issues de collections privées. Il manque encore beaucoup de photos et si vous en possédez merci de me contacter.

Ce site n’est pas figé. J’ajoute très régulièrement de nouveaux documents ou de nouvelles informations au fur et à mesure de leur découverte. Il est donc possible que vous constatiez des différences entre deux visites. Cela est tout à fait normal. C’est la conséquence de l’évolution des savoirs dans le temps.

J’ai besoin de votre aide afin d’améliorer la connaissance des personnes recensées.  Si vous savez quelque chose qui ne figure pas sur le site, je vous remercie de me le faire savoir en apportant vos informations ou vos documents sous la forme de commentaires. Je vous répondrai rapidement. Merci d’avance.

Yves MOREAU

269 commentaires sur “Accueil

  1. Sylvie dit :

    Bonjour Monsieur,

    Mon père âgé de 90 ans m’a raconté à plusieurs reprises que son propre père a caché une famille HERMANN (?) à Bessé-sur-Braye. A l’époque, il avait une alimentation dans le village. J’aurais aimé savoir ce que cette famille est devenue.

    Ce que vous faîtes est magnifique !

    • Bonjour,

      Je n’ai jamais entendu parler de cette famille. A Bessé-sur-Braye j’ai qu’il y a un Herman SOSNOWICZ mais pas de HERMANN. Pourriez-vous m’en dire plus sur votre père et sur cette famille?

      Merci d’avance.

      • baillard37 dit :

        B‌onjour Monsieur,

        Merci pour votre réponse.

        Mon grand-père s’appelait Georges René Henry BURY. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, il tenait une épicerie à Bessé-sur-Braye avec ma grand-mère Hélène BURY née PERRON. Il était entré dans la Résistance et avait caché une famille juive dénommée HERMANN. 

        Peut-être que l’orthographe n’est pas correcte, peut-être s’agit-il d’un prénom… mon père est assez formel sur la phonétique. Je vais de nouveau le  questionner.

        Je vous souhaite une très bonne soirée

  2. ER dit :

    Hello Mr. Moreau, I am getting in touch from UK-based would like to speak to you regarding getting in contact with someone. Please email me back on the contact provided. I look forward to hearing from you.
    Best wishes,
    Elaine

  3. Bonjour M. Moreau,
    Je reviens vers vous concernant l’exposition qui sera organisée pour le 8 mai prochain, sur Luché-Pringé pendant la seconde guerre mondiale. Je suis en charge de la réalisation de panneaux sur les juifs. J’aurai voulu savoir si je pouvais utiliser les photos des personnes juives arrêtées à Luché pour illustrer leur fiche ? En citant votre nom dans les sources. Belle journée à vous Thierry Bomben

  4. Evelyne GICQUEL dit :

    Je me permets une petite rectification à propos de l’article de Mr Tuffier sur le château du Chesnay à Torcé en Vallée : Mr Gicquel n’est pas le gendre mais le petit fils de Mr Marcel Lambert
    Bien cdt Evelyne Gicquel

  5. Bonjour Monsieur Moreau, Thierry Bomben enseignant au lycée Nazareth à Ruillé sur Loir, j’avais travaillé sur Jean Kac caché à Requeil. Je suis à la recherche d’informations pour une exposition sur la deuxième guerre mondiale à Luché-Pringé pour le 8 mai prochain. Sur votre site, j’ai trouvé le nom de Guy Destouches, catholique interné à Coudrecieux en tant qu’enfant. J’aurai aimé en savoir plus sur lui. Je vous souhaite une belle journée Thierry Bomben

    • Bonjour, Je suis actuellement en train de travailler sur les nomades qui ont été internés au camp de Mulsanne en 1942. Certains d’entre eux ont été déportés à Auschwitz par la suite. Je n’en suis qu’au commencement de mes recherches. Guy Destouches était un enfant de nomade qui a transité par les camps de Coudrecieux, Mulsanne et Montreuil-Bellay. Il semble qu’il n’ait pas été déporté. Je n’en sais pas plus actuellement sur lui. Désolé. Si par contre vous cherchez des déportés en lien avec Luché-Pringé consultez les pages suivantes :

      Luché-Pringé

      Luché-Pringé


      Bien à vous.

  6. Bressolles Damien dit :

    Bonjour, je suis enseignant au lycée Jean Bouin à Saint-Quentin dans l’Aisne. Je prépare actuellement le concours national de la résistance et de la déportation. Nous travaillons sur les juifs déportés de Saint-Quentin, et nos recherches nous ont menés à votre site internet. Je souhaiterais changer avec vous sur la famille Ciozniak. Bien à vous. M. BRESSOLLES

  7. hedacq dit :

    auriez vous une photo de Mathias Herscher ou un courrier ou autre il a été raflé il vivait avec sa famille en Dordogne il est parti le premier au convoi 8 Sara cynower son épouse convoi 40 ceile et odette les deux ainées convoi 68 (où étaient elles cachées après les arrestations de leurs parents) et enfin la petite marguerite convoi 77 raflée à Saint Mandé passée par Drancy avant qui aurait des informations ou photo de la famille

    Merci

  8. Jupin Laurent dit :

    Merci pour votre action.
    Merci au Maine libre pour m’avoir permis de vous connaître.
    Avec mon épouse, nous serons à Auschwitz Birkenau samedi 6 mai.
    Nous aurons une pensée particulière pour l’enfant.

  9. GENSBURGER Sarah dit :

    Bonjour,
    Je me permets de vous écrire car dans le cadre d’une recherche sur un quartier parisien, et chercheuse au CNRS, je m’intéresse à Heinz Schmidt dont je viens de voir via votre site que les enfants Stella et Jean ont été cachés par le comité amelot dans le département de la Sarthe. J’imagine que vous avez trouvé cette information dans les archives du comité au mémorial mais je suis preneuse de plus ample précision. Je peux de mon côté vous communiquer ce que je sais sur leur père et vous signaler que Jean et Stella sont en photographie sur Lamarck en 1942, j’imagine que c’est de là que le comité amelot les fera sortir.
    Bravo encore pour ce travail très précis et rigoureux que vous offrez à tous et toutes.
    Sarah Gensburger

    • Bonjour,
      Effectivement le peu d’informations que j’ai recueillies sur Stella et Jean m’ont été fourni par un chercheur qui a fouillé le fonds du Comité Amelot. Je n’ai rien trouvé aux archives et tout ce que vous savez me sera utile pour compléter le site. Si vous avez les photos des enfants et qu’elles soient diffusables merci de me les communiquer.
      Bien à vous.

      • GENSBURGER Sarah dit :

        Bonjour,
        je vous remercie pour votre retour. Pouvez vous me donner le nom du chercheur qui a travaillé de cette manière sur la rue Amelot ? Je vous envoie les informations à quelle adresse mail ? Bien cordialement Sarah Gensburger

      • Brami michel dit :

        Madame,

        C’est moi qui ai transmis ces documents à Mr Moreau,
        Vous pouvez me contacter à l’adresse suivante : brami.michel@gmail.com

        Cdlt
        Michel Brami

    • Brami michel dit :

      Madame,

      C’est moi qui ai transmis ces documents à Mr Moreau,
      Vous pouvez me contacter à l’adresse suivante : brami.michel@gmail.com
      J’effectue un travail de recherche sur mon histoire familiale, je serai ravi d’échanger des informations .
      Cdlt
      Michel Brami

  10. SESOLIS Bernard dit :

    Bonjour,
    Je découvre avec émoi ce remarquable travail de mémoire.
    Je suis un des fils de Héselis SESOLIS (dénommé SESOLIS N… dans ce document) mentionné comme l’un des 6 rescapés cachés du camp de Beauregard. Je pourrais vous donner toutes les informations dont je dispose (elles sont éparses mais elles permettraient au moins de rendre justice aux familles qui ont cachés au risque de leurs vies, mes parents, mon frère, ma tante, son fils et son futur mari, cité également parmi les 6 rescapés. N’hésitez pas à me contacter. Et merci pour eux.

    • Laurent Waquet dit :

      Bonjour Monsieur,
      Je suis Laurent Waquet, historien et auteur de l’article que vous avez mentionné dans votre précédent message. Je serais très heureux de pouvoir entrer en contact avec vous au sujet de votre père Héselis SESOLIS.
      Bien cordialement.

    • Bonjour,
      Merci pour votre message. En effet je ne sais pas grand chose sur votre père ni les 5 autres rescapés du camp de Beauregard. En me communiquant vos informations je pourrai leur rendre hommage ainsi qu’à leurs sauveteurs et les mettre à disposition sur le site.
      Bien à vous.

    • COUDRAY Micheline dit :

      Pourriez-vous me dire si vous seriez le frère de Maurice Sésolis qui a été confié à mes parents, par son père en juillet 1942 dans la Marne ? si oui, pouvez-vous prendre contact avec moi -merci.

  11. yael polat dit :

    Bonjour,
    Je vous ecris au sujet de la fiche de Berthe Petchenik FIX. Vous mentionnez que son nom de jeune fille de sa mere etait Stratewsky. D’ou vient cette information? C’etait aussi le nom de son premier mari? Ils etaient cousins. De meme, pourriez-vous me mettre en contact avec son petit-fils, David Wolfsohn, qui a depose une feuille de temoignage pour ses grand-parents. Merci beaucoup,
    Yael Polat

  12. Courtes genevieve dit :

    Les archives ne conseillent pas.Il y a des chiffres qui parlent par eux méme
    Pour le Gers au musée, la salle Deportation est séparée de la Salle Shoah et les statistiques ne sont pas melees,3 pour cent de rescapés salle Shoah ouverture ete 22
    Merci à Yves Moreau de m’avoir permis de rajouter 35 déportés grâce au site steve morse

    Pour les administrateurs dans « PRESENCES JUIVES DANS LE GERS j ai suivi beaucoup de grands historiens de la Shoah et mis les administrateurs provisoires avec les initiales li ya des descendants qui n’y sont pour rien.

    • J’imagine les futurs livres d’histoire où l’on nous conterait les exploits de AH, PP, JS, BM, FF. Pourquoi faire de même pour les sans grades. Les administrateurs provisoires dont ce n’étaient pas le travail, contrairement aux gendarmes et policiers, n’ont accompli leur sinistre besogne que par intérêt financier. J’ai de nombreuses lettres où ils réclament à corps et à cri d’être rémuné pour leurs services. Un ferrailleur JB administrateur d’un ferrailleur juif s’est enrichi en spoliant son collègue, un autre tailleur HB a liquidé des dizaines de commerce de tailleurs juifs, même un futur maire du Mans ML a été chargé de l’aryanisation de commerces. Comment peut-on cacher de telles vilénies? Quant aux descendants c’est l’argument retenu par le Département de la Sarthe pour ne pas débaptiser un collège du Mans RV auteur d’écritsnotoirement antisémites.

  13. olivier cahen dit :

    Je suis heureux de constater et je vous en félicite que vous arrivez bien à un millier de personnes juives : comme j’avais trouvé : le sujet est en effet très vaste : ( adultes ou enfants) qui ont vécu en Sarthe ( ancienne communauté, réfugiés d’avant guerre, réfugiés à un moment pendant la guerre, cachés, mis en résidence forcée,…) , qui ont été mis en surveillance pour les juifs « étrangers » puis raflés ( deux grandes rafles d’abord les pères avec les grands enfants puis les mères avec les petits enfants, arrêtés, dénoncés, ….) en Sarthe ou ailleurs , et qui ont été exécutés, déportés et assassinés, emprisonnés et envoyés dans des camps ;…. qui ont échappés par eux mêmes, par des organisations juives ou non juives, des réseaux de résistance, des personnes, et même des services d’état ou municipaux. Sans compter ceux morts en tant que soldats engagés à la déclaration de guerre ( régiments d’AN ou polonais), en tant que résistants ( comme Robert CAHEN) . Des enfants cachés ont été renvoyés dans leur famille par les autorités, ont été dénoncés ( même un enfant en fin de soins par le secrétaire de l’hôpital) , ont été mal traités et déplacés, dont on a changé les noms et baptisés, voir « donnés » à une famille en mal d’enfants , J’en oublie car j’indique cela par mémoire et sans me replonger dans mes travaux. Beaucoup de sarthois ont préféré « tourner la page » , parler des justes et moins du reste . Aux archives si il est permis de consulter certains documents et il vivement conseillé de ne pas citer les noms des administrateurs aryens, des policiers,…. par exemple. Une société d’histoire a même publié un travail mélangeant les déportés résistants et les déportés raciaux pour minimiser le % de survie des personnes juives. (60 % contre 6 % !!).

    • Merci docteur de cette intervention. Effectivement le recensement est très difficile en particulier pour les personnes cachées. J’avoue que c’est dans ce domaine que j’aurais besoin de vos compétences. Par exemple je n’ai eu connaissance de cet enfant en fin de soins. En fouillant inlassablement les archives je trouve de nouveaux déportés qui ont passé quelques jours ou quelques semaines dans la Sarthe avant d’avoir été déportés dans un autre département. Le dernier en date est Herman TUSZINSKY qui était employé à l’entreprise Zublin déporté par le convoi 11. Malgré le peu d’informations sur lui je vais le recenser prochainement.

      • olivier cahen dit :

        Les fillettes juives ETENSON placées à Saint-Jean de la Motte ont été admises à l’hôpital du Mans (Pavillon Trousseau pour un impétigo facial (infection cutanée bactérienne). Et le 16 janvier 1943 le secrétaire général des hôpitaux du Mans informe les affaires juives à la préfecture qu’elles sont présentement guéries. Ce service prévient la police de sûreté allemande.

        J’avais fait photocopier tous les documents des archives du Mans sur cette question (dès leur « ouverture ») ce qui m’a valu des mises en garde : « j’avais le droit de les étudier mais en cas de diffuser les noms des Sarthois concernés par des actes coupables par souci de leurs descendances)

        J’ai à ce jour dépassé largement les 1 000 personnes juives (sur un tableur) de mes premiers relevés et cela s’est même augmenté avec les travaux de Klarsfeld et autres, mais aussi les vôtres. (j’ai même retrouvé des personnes juives qui m’ont raconté l’histoire de leur famille en Sarthe mais qui refusent toute publication )

        Ainsi sur mes premiers écrits (cela me permet de faire un copié -collé) j’avais cité quelques exemples que vous connaissez certainement .

        Chaque mouvement devant être signalé conformément aux instructions de M ; le Feldkommandant en date du 8 avril 1941 certains n’y échappent pas : Les enfants TCHERNIAKOUSKI adèle 2/11/28 et Rose née le 24/4/36 Paris fr venant de Paris à Brains sur Gée ou TYLBER Cécile 18/9/34 à Paris venant de Paris à Cerans-Foulletourte le 6/7/42
        Sont signalés à leur arrivée le 17 février 1943 par les affaires juives, 3° bureau de la 1 ère division de la Préfecture de la Sarthe à la police de sureté allemande S.D. 92 rue des Fontaines le Mans.Le 14 mars ils doivent retourner à Paris « en conformité aux instructions données en réponse » et transmises à M le délégué départemental de l’U.G.I.F.
        MILDMAN Charles et son frère Henri nés en 1934 et 1930 à Paris demeurent Paris X, 39 faubourgs du Temple envoyés par Mme B domiciliée près de chez eux à Pontvallain chez Mme R. sont signalés aux autorités renvoyées à Paris ils seront déportés par le convoi n°62
        Nelly Sharapan est née en 1936 Son père est prisonnier de guerre, sa mère travaille à l’UGIF. Elle est confiée dans la Sarthe, pour la première fois à la campagne, chez Mme P. mère d’un petit garçon.
        Puis un beau jour cette femme disparut, partie avec un Allemand pour lequel elle avait eu un coup de foudre abandonnant Nelly mais aussi son propre fils. Entre temps sa mère, dénoncée fut arrêtée, internée à Drancy puis déportée. Nelly se retrouva dans la rue sans personne avant d’être emmenée dans une ferme pour servir de main d’œuvre. Dans cette famille il y avait deux fillettes plus âgées issues d’un premier mariage et un second mari alcoolique et violent. Traitée de sale juive on lui assigna le grand nombre de taches, les plus dures et les plus humiliante.

        Une femme s’était fait confier un enfant juif en pension. Après « encaissement de l’argent pour la pension » la nourrice demanda à la kommandantur de venir en prendre livraison pour s’en débarrasser. Les Allemands refusèrent de se déplacer pour un enfant et proposèrent de l’envoyer en taxi : ce qui fut fait : quelques jours après la « nourrice » appela la préfecture pour demander le remboursement du taxi !
        En effet, certains enfants cachés en Sarthe ont été arrêtés comme :
        Roza Skornik cachées à Coudrecieux arrêté dans un train en Sarthe, Drancy 23/06/1943
        Maurice Skornik arrêté dans l’Eglise convoi déportation n°69 du 7/3/1944.

        Les recherches sont à chaque fois longues et difficiles car beaucoup de documents et souvent la mémoire a disparu. Ainsi ce jeune juif réfugié en Sarthe arrêté alors qu’il passait l’épreuve du bac au lycée Montesquieu et que j’ai fini par retrouver malgré les dénégations de personnes sollicitées.

  14. Busson dit :

    J’ai des courriers de la famille Helinger transmettre à Yad Vashem..

  15. Busson dit :

    Bonjour,je viens pour apporter un couple caché de confession juive réfugiés tchécoslovaque,chez Mr Brier l’horloger de la fontaine St Martin ,la maman a été envoyée dans les camps seul le fils René rescapé après deux arrestations en 1942 et 43.René résidait a Lyon.
    Cordialement
    Mr Busson Jean-Guy petit fils de juste

  16. Lenne dit :

    Bonjour,
    En partenariat avec la Municipalité Thouarsaise, le Centre Régional Résistance et Liberté de Thouars et la Société d’Histoire, je travaille actuellement sur le parcours des personnes de confession juive arrêtées et déportées lors des deux rafles ayant eu lieu dans les Deux-Sèvres en octobre 1942 et janvier 1944. Deux journées de commémoration ont lieu le 29 et 30 avril prochain en présence des familles.
    Il s’avère que Podorowski Jules possédait un magasin à Thouars, qui par la vente au gérant nommé avant-guerre ne fut pas araynisé. (AD 79). J’ai lu votre travail sur le site de Hélène AMIOT née Podorowski. Je recherche un contact avec Franck Marché et Bertrand Bossy car la famille avait outre les magasins de Thouars et Le Mans deux magasins sur Angers et Cholet. Je recherche aussi un contact avec des descendants. pouvez-vous SVP établir ou m’indiquer ces contacts? Je vous remercie. Cordialement Marie-Danièle LENNE

  17. melanie Lovambac dit :

    Je fais partie de l’association du convoi 68 et nous comptons à partir des différentes biographies que nous avons pu obtenir, éditer un livre. Je m’occupe actuellement de faire des recherches sur la famille BASSAN Sabaty, Clara, Michel et Henri qui a été déportée par ce convoi. En consultant votre site j’ai vu qu’une branche ce cette famille avait été épargnée. J’aurai bien voulu prendre contact avec ces personnes pour avoir éventuellement des renseignements supplémentaires sur cette famille. Merci

  18. LESKA dit :

    Bonjour Mr Yves MOREAU
    je suis le fils de Robert Paul LESKA
    Merci beaucoup d’avoir répertorié mon père sur la liste des déportés de la Sarthe ,
    Pouvez vous me contacter par mail car j’ai beaucoup d’information à vous communiquer sur sa biographie .Il y a quelques erreurs sur les renseignements transmis.
    Bien cordialement
    Gilles LESKA
    leska.gilles@orange.fr

    • Bonsoir monsieur Leska,

      Je suis très heureux d’être en contact avec vous. Votre père, bien qu’étant né dans la Sarthe, a certainement vécu longtemps hors de ce département. Cela explique pourquoi je n’ai pas trouvé beaucoup d’informations le concernant. La majorité de ce que je sais sur lui vient du journal « Ivry ma ville ». Je serai très intéressé par tous les éléments que vous voudrez bien me communiquer et me permettre de corriger les informations du site.

      Dans l’attente, bien à vous.

  19. Lorne Alter dit :

    Is anyone able to confirm the presence of a shoichet in Mamers just before the invasion?

  20. Jean-François LE BIHAN dit :

    Bonjour M. Moreau,

    Je travaille actuellement sur une recherche concernant deux enfants juifs cachés pendant la guerre à St Mars de Locquenay.
    Pourriez-vous me contacter directement (par mail) pour échanger….

    Merci d’avance !

    JF LE BIHAN

  21. lecombre Paulette maillet dit :

    moi je faisais partie des enfants de Brest je suis venue avec ma sœur en 1942 jusqu’à la fin de la guerre pour moi cela a était les plus belles années que j’ai vécu quand notre mère est venue nous chercher je n’ai pas sauter de joie 3 ans j’ai vécu ma vie de petite fille ma nouvel vie a était de travailler dans les fermes pour avoir des pommes de terre et du lait alors j’ai toujours gardé un bon souvenir de la sauvager

  22. dupuy dit :

    Bonjour,

    Je fais des recherches sur le sujet le département de la Haute-Vienne depuis plusieurs années et suis en train de les synthétiser. Bravo pour votre magnifique travail en tout cas!
    Il y a je pense des liens à établir. je viens en effet de voir le nom de VIOLA Kurt par exemple et il se trouve que sa mère (je pense) a été déportée depuis la Haute-Vienne. Au plaisir de prendre contact avec vous.

    Fanny DUPUY

    • Bonjour,
      Concernant Kurt VIOLA je sais peu de choses sur lui. Il a été interné avec son épouse Rosa au camp de La Lande de Monts en Indre-et-Loire venant de Bordeaux. Il a été transféré à Angers en juillet 1942 où il a été déporté sans retour à Auschwitz par le convoi 8 le 20 juillet 1942. Son épouse a donné naissance dans ce camp après son départ à sa fille Edith. Toutes deux ont été déportées par le convoi 36. En regardant le Mémorial de Klarsfeld on peut penser que sa mère pourrait être Olga VIOLA née HELLER et déportée par le convoi 26. Mais comme Kurt VIOLA n’est pas passé par la Sarthe, département que j’étudie, je préfère orienter vos recherches vers la personne qui a étudié les déportés d’Indre-et-Loire. Elle pourra mieux que moi vous donner des détails sur Kurt. Je lui demande de vous contacter directement.
      Bien à vous.

      • idlas-Lobelson dit :

        bonjour
        la mère de la petite Edith Viola est Rosa Goldstein née le 14 mai 1911 à vienne, déportée avec sa fille par le convoi 36

  23. Johachka Mai dit :

    Cher Monsieur Moreau,

    Nous sommes très admiratives de votre travail sur ce site.

    Nous faisons en ce moment des recherches concernant la famille de Charles Epelbaum, frère de Samuel Epelbaum et donc gendre de Louise Epelbaum (Jacobowitz) pour laquelle vous avez publié de nombreux documents.

    Charles Epelbaum a été déporté de Paris et n’a pas survécu. Nous pensons qu’il avait réussi, par ses contacts familiaux, à cacher sa femme, Bassia Epelbaum, née Levit, et sa fille, Odette Henriette Epelbaum (épouse Busseuil) en Sarthe dans les environs de Mamers. Nous avons une photo d’Odette avec la mention « Mamers, 1941 » et une autre datant de 1944 prise à Vouvray-Sur-Loir. Auriez-vous des pistes pour en apprendre d’avantage?

    Par ailleurs, sauriez-vous s’il existe une documentation des dénonciations de juifs en France?

    Nous vous remercions par avance de tout renseignement que vous pourriez nous apporter.
    Bien cordialement,
    Johachka Mai

    • Bonjour,
      Je vous remercie de votre message. J’avoue que j’ignorai la présence de Bassia Epelbaum à Mamers et les photos que vous possédez atteste pourtant de sa présence dans la Sarthe. La personne qui aurait pu vous renseigner est Marcel Lepinay qui a caché Louise Epelbaum. Je l’avais rencontré en mars 2016 lors de la cérémonie de la remise de la médaille des Justes à Mamers. Il ne m’avait pas parlé de Bassia mais seulement de Louise. Malheureusement il est décédé quelques mois après et je ne connais aucun membre de sa famille.
      Je regrette de ne pouvoir pas vous être utile dans votre recherche.
      Bien à vous.

  24. olivier cahen dit :

    Je recherche bénévolement pour un tiers ( son petit neveu ): les noms d’enfants juifs qui ont été cachés à Lavaré . Village des justes : COME mère et fils et le couple MARY mais où en fait auraient été cachés de 40 à 100 enfants selon les sources ( pour 1 millier d’habitants) . Par Mlle DUMUR Clémentine née en 1896 à Lavaré , y demeurant en 1936 au bourg route du Luart quartier n°4 en compagnie de ses vieux parents. Elle est décédée en 1988 à Vibraye. Il y a quelques années une dame cherchait Mlle DUMUR et semble être une des enfants de l’époque. le Maire de Lavaré avait fait admettre à l’école communale en informant l’institutrice qui a régulièrement refusé de déclarer aux autorités les noms des enfants de son école . Peut-être existe-t-il des listes d’élèves de l’époque.

  25. Laurent WAQUET dit :

    Bonjour Monsieur,

    Je cherche à contacter Monsieur Franck Marché. Celui-ci a rédigé à compte d’auteur une étude intitulée : « Clefs, chantier forestier 1607, Maine-et-Loire, 1942-1943 ». Ce chantier forestier, par où sont passés environ 150 travailleurs juifs, était situé dans le département du Maine-et-Loire à Clefs mais son siège administratif était situé au 51 rue de la Paix à La Flèche, dans la Sarthe. Je souhaiterais acquérir l’ouvrage de M. Marché mais son adresse e-mail disponible sur internet ne fonctionne pas. Peut-être vous serait-il possible de me mettre en contact avec lui ? Merci d’avance. Cordialement.

    • Bonjour,
      Je lui ai transmis votre message. Je pense qu’il vous répondra directement.
      Bien à vous.

      • Laurent WAQUET dit :

        Merci beaucoup Monsieur pour votre aide. J’ai pu entrer en contact avec M. Marché.
        Bien cordialement.

    • olivier cahen dit :

      Ce camp était situé en forêt sur la commune de Clefs en Maine-et-Loire, entre Baugé et la Flèche (localisation sur Google Earth), à proximité du château de Mélinais. En contactant la mairie de Clefs, j’apprends qu’un historien, Franck Marché, travaille sur le sujet. Coincidence, il prépare un livre qui est d’ailleurs pratiquement bouclé.

      Après quelques échanges par téléphone et mail, quatre ou cinq pages seront finalement ajoutées. Tous mes remerciements à Franck Marché-Roubakowitch qui à réalisé un important travail. Son livre a été publié à compte d’auteur en 2008, avec le soutien de la fondation pour la mémoire de la Shoah : Clefs chantier forestier 1607 – Maine et Loire 1942 1943. Il contient de nombreux documents et photos.

  26. olivier cahen dit :

    Pour une fois que j’ai regardé ( par acquis de conscience mais un peu vite ) dans le nouveau Mémorial ( tristement fort lourd et très grand format) au lieu de me contenter de mes notes , photocopies des AD , documents divers , livres, mes listes, etc…etc…Désolé ! Et merci d’avoir corrigé. Cela illustre bien la « mobilité forcée » des familles juives et les difficultés que cela pose ( et les erreurs que l’on peut faire) !

  27. Thibaud.joffe dit :

    Bonjour Marine

    Il avait une société de transport.
    est ce que c’était la STAO ?

    • Marine dit :

      Oui il était un des dirigeant. Il a d’ailleurs passé beaucoup de juifs en zone libre et informait des différentes rafles. La nuit il prenait des cars de la Stao et les passaient en zone libre. Et j’ai beaucoup entendu parle de votre famille car ils habitaient à côté.

      • Joffe dit :

        Bonjour,
        ma tante maternelle ma dit effectivement que ma tante était prévenue des rafles en travaillant à la STAO et donc grâce à lui. Hélas une rafle a eu lieu avec des taxis.

      • Joffe dit :

        Bonjour,
        ma tante maternelle ma dit effectivement que ma tante était prévenue des rafles en travaillant à la STAO et donc grâce à lui. Hélas une rafle a eu lieu avec des taxis.
        Je suis intéressé par ce que vous savez sur ma famille pendant la guerre car je ne sais que ce qui découle des différents documents mais pas le quotidien.
        avez vous aussi entendu parler de la famille Bihot habitant aussi au 5 rue du port

      • Marine dit :

        Non, il faudrait que je demande à ma grand mère. Elle était qu’une enfant à cette époque, elle m’a relaté que la famille Joffe que son père aidait beaucoup mais je n’ai pas entendu parlé de la famille de cette autre famille vivant à la même adresse

  28. JOFFE Thibaud dit :

    Bonjour Marine,

    Je ne suis au courant de rien concernant la famille Portmann habitant au 9 rue du port.
    Mon père est décédé en 1986 et à cette époque on ne parlait pas de cela et j’étais jeune.
    Je suis très intéressé par tout ce qui concerne mes grands-Parents paternels, ma tante et mon père et donc si Raymond Portmann a aidé ma famille cela m’intéresse car j’ai des informations sur les déplacements pour se cacher mais pas ce qui s’est passé au Mans et en particulier comment ma tante a été arrêté. Ma tante maternelle m’a dit qu’elle travaillait à la STAO et qu’il y’avait eu une rafle.

    Merci,

    • marine dit :

      Qu’avez vous comme infos sur les déplacements de votre famille. Je sais que mon arrière grand père logeait chez lui d’autres personnes pour les cacher ( mais ma grand mère est au courant que d’un seul nom Fillipo ( nom raccourcie surement) qui lui était un ancien chef de police juif.
      J’essaie d’avoir plus de renseignement mais la mémoire de ma grand mère a cause de son âge lui fait un peu défaut.

      • Joffe dit :

        Mon père Henry, qui je penses était avec son père (il était né en 24) s’est caché ou a sejourne à 14 endroits différents pendant la guerre.
        – Alpes Maritimes à nice
        – Dans le Var dont St tropez
        – la flèche, COULAINES et Nice à nouveau
        – Uzés et Nîmes
        Il a fait le débarquement vers Saint tropez

  29. GOSSARD dit :

    Bonjour, nous sommes à la recherche de la famille MIROWICZ, j’ai vu Ida MIROWCZ qui est un membre de notre famille. Avez-vous des informations supplémentaires?

    Merci beaucoup 🙂

    • Martin Michel dit :

      Shalom, je voudrais pas être hors sujet, mais sur mon blog Shalom72 Vous découvrirez la vie de la communauté juive du Mans au Moyen-âge. Bonne journée.

    • Bonjour, je transmets votre demande à la personne qui gère le site des déportés d’Indre-et-Loire et reviens vers vous ensuite. Bien à vous.

    • Bonjour,
      J’ai mis quelques jours à vous répondre n’étant pas chez moi. Yves Moreau (déportés de la Sarthe) m’avait fait part de votre demande.
      Ida Mirowicz a été internée au camp de La Lande à Monts 37 du 5 décembre 1941 au 16 juillet 1942 ( fiche du camp de La Lande) venant du camp de Mérignac. Je vous joins aussi sa carte d’alimentation établie à Bordeaux avec une adresse à Bordeaux. Sur sa fiche du camp de La lande elle a indiqué son adresse à Paris où elle devait sans doute vivre avant la guerre. Sur cette fiche, il est indiqué qu’elle est veuve avec un enfant, mais il ne devait pas être avec elle car il n’est pas inscrit sur les listes du camp. B16 est le numéro du baraquement dans lequel elle était et Le I majuscule indique qu’elle était de nationalité indéterminée. En Indre et Loire la rafle a eu lieu les 15,16,17 juillet 1942, les personnes arrêtées internées à l’Ecole Normale de filles de Tours, 133 personnes du camp de La Lande les rejoignent , le 18 juillet elles sont transférées au Grand Séminaire d’Angers, lieu de rassemblement de toutes les personnes raflées du Grand ouest, Angers étant Préfecture de Région. Le 20 juillet elles sont déportées à Auschwitz par le convoi n°8 convoi parti directement d’Angers à Auschwitz.
      J’espère que ces quelques renseignements vous seront utiles. Bien sûr nous serions intéressés si vous aviez des renseignements supplémentaires sur elle et sa famille.
      Cordialement.
      Marie-Paule Fresneau-Petitgirard présidente de l’Arehsval

  30. LEFÈVRE dit :

    Bonjour,
    Dans le dernier numéro de Télérama, j’ai lu un article sur David LESCOT, dramaturge, fils de Jean LESCOT, comédien, dont le patronyme polonais était WAJSBROT.
    Son père était un enfant caché pendant la dernière guerre. Et David a découvert que son père envoyait chaque année un colis à la dame qui l’avait caché à la campagne, dans la Sarthe.
    Je n’ai pas trouvé son nom dans la liste des enfants juifs cachés non déportés.
    En aviez vous connaissance ?
    Merci pour votre travail de mémoire.
    Bien cordialement
    Pierre Lefèvre
    AFMD-DT72

    • Bonjour,
      Effectivement j’ai lu l’article de Télérama et découvert ce nouvel enfant caché en Sarthe. J’avoue ne rien savoir de lui mais j’entreprends des recherches pour le retrouver et le recenser dans mon site.
      Merci de votre intérêt.
      Bien à vous.

      • CAHEN Olivier dit :

        Simon WAJSBROT venu à Paris en 1920 pour rejoindre son frère Samuel (ouvriers casquettiers rue des Francs-Bourgeois Paris IV ) a été naturalisé en 1931 et a fait venir sa future épouse Rywska ( également de Pulawy Pologne)leur fils Jean est né le 30/8/1938 . Ses parents n’ont apparemment pas été déportés. Ils ont placé ce jeune enfant en Sarthe certainement avec l’aide d’une assistante sociale comme cela se faisait beaucoup en Sarthe ( complément de revenu : 700 F). Ils ont du le récupérer après guerre . Dés lors on ne retrouve pas Jean Wajsbrot parmi les enfants cachés par des justes et les divers autres sources (filières de sauvetage, …).Les enfants « non réclamés » ayant été placé après guerre au château de Méhoncourt et dans un foyer en ville avec son annexe. Jean Wajsbrot a pris comme nom d’acteur Lescot ( en rapport avec Roland Bechmann dit Lescot résistant du Vercors ? ).

      • Merci beaucoup docteur de vos informations si précises et si complètes. Vous êtes toujours d’un grand secours et je vous en remercie.
        Bien à vous.

      • Courtes Geneviève dit :

        En écrivant un livre sur les juifs du gers un Cahen d Anvers possédait un domaine viticole spolié dans le Gers,chateau de Lias et cachait un grand résistant Parisot un temps
        Savez vous plus docteur Cohen?
        Merci
        Geneviève Courtes
        Lectoure

      • CAHEN Olivier dit :

        Maurice Parisot, (1899 , mort le 6 septembre 1944 à Toulouse) est un résistant français, fondateur et chef du Bataillon de guérilla de l’Armagnac. Vous trouverez toute son histoire sur :
        https://fr.wikipedia.org/wiki/Maurice_Parisot
        Par l’entremise de Georges Monnet, il est chargé par le Suisse Édouard Frick de gérer le domaine que celui-ci vient d’acheter ( 1942 ) dans le Gers, le domaine de Saint-Gô, dans la commune de Bouzon-Gellenave à 20 km de Lias (Gers)
        Par ailleurs le fils aîné d’Édouard CAHEN d’Anvers ( fils de Meyer Joseph Cahen, dit d’Anvers) : Rodolfo ( titré marquis de Torre Alfina par Umberto II) s’est réfugié à Genève en 1942. Rodolfo est mort célibataire en 1955 (après avoir institué héritier… son maître d’hôtel suisse !). A-t-il vendu cette propriété viticole en sa possession ? ( pour subvenir à ses besoins ? à Edouard Auguste Frick ? Ce dernier était Délégué du CICR en Russie et haut commissaire adjoint à la Société des Nations . Marié en 1920 à Genève avec Marguerite Renée Cramer dont le père était Président du Consistoire . Juriste elle fut la première femme membre du CICR.
        Riche d’une histoire que les documents font remonter à 1421, ce domaine viticole est exploité depuis le XVème siècle. Incendié par les Allemands le 3 août 1944 venus arrêter sans succès Maurice Parisot et sa famille, le château brûle entièrement.
        C’est en 1988 que le Château renaitra. (Chai vinicole de Plaimont)

      • Genevieve Courtes dit :

        Merci je fois réfléchir et le recadrer dans nos sources et les docs de spoliation il y aurait une entrée au Cdjc
        Vous soulevéz la question d une implantation avant 39
        A bientot
        Geneviève et Georges Courtés
        En cours le Gers terre de refuge des juifs

      • genevieve courtes dit :

        MERCI PEUT ETRE 1 OU 2
        A LA VERITE CE QUI M INTERESSE CE SONT LES SOURCES QUI ONT INSPIRE LES ARTICLES SIGNALES OU LES TEMOIGNAGES NOUS ALLONS FOUILLE CE BIEN SPOLIE
        MERCI MERCI

    • CAHEN Olivier dit :

      Maurice Parisot, (1899 , mort le 6 septembre 1944 à Toulouse) est un résistant français, fondateur et chef du Bataillon de guérilla de l’Armagnac. Vous trouverez toute son histoire sur :
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Maurice_Parisot
      Par l’entremise de Georges Monnet, il est chargé par le Suisse Édouard Frick de gérer le domaine que celui-ci vient d’acheter ( 1942 ) dans le Gers, le domaine de Saint-Gô, dans la commune de Bouzon-Gellenave à 20 km de Lias (Gers)
      Par ailleurs le fils aîné d’Édouard CAHEN d’Anvers ( fils de Meyer Joseph Cahen, dit d’Anvers) : Rodolfo ( titré marquis de Torre Alfina par Umberto II) s’est réfugié à Genève en 1942. Rodolfo est mort célibataire en 1955 (après avoir institué héritier… son maître d’hôtel suisse !). A-t-il vendu cette propriété viticole en sa possession ? ( pour subvenir à ses besoins ? à Edouard Auguste Frick ? Ce dernier était Délégué du CICR en Russie et haut commissaire adjoint à la Société des Nations . Marié en 1920 à Genève avec Marguerite Renée Cramer dont le père était Président du Consistoire . Juriste elle fut la première femme membre du CICR.
      Riche d’une histoire que les documents font remonter à 1421, ce domaine viticole est exploité depuis le XVème siècle. Incendié par les Allemands le 3 août 1944 venus arrêter sans succès Maurice Parisot et sa famille, le château brûle entièrement.
      C’est en 1988 que le Château renaitra. (Chai vinicole de Plaimont)

      • genevieve courtes dit :

        Donc de source CDJC LE CHATEAU DE LIAS SPOLIE N’EST PAS ENCORE VENDU AU 101943

        IL ME MANQUE L’ACQUISITION PAR M.CAHEN LE PRENOM?? EN 40??? AVT 40??
        ET LA RESTITUTION
        LE DOMAINE EST VENDU EN 1945 JE N AI PAS LA SOURCE ET DEPART DES CAHEN A PARIS

        BONNE JOURNEE A TOUS DISONS LE MIEUX POSSIBLE

      • Les archives nationales a Pierrefitte ont la serie AJ38 qui couvre les spoliations et les restitutions. Ces archives sont très riches mais parfois incomplètes. Il y a un inventaire avec un glossaire à la fin qui permet de localiser la section de l’inventaire qui a son tour donne une cote spécifique. J’ai souvent cherché par localités. L’étape suivante, c’est de demander le rouleau de microfilm qui correspond à la cote en question. C’est assez laborieux mais j’ai trouvé des trésors sur le Vaucluse. Une autre piste qui découle des microfilms, c’est : quels étaient les notaires chargés de la spoliation en question? Dans certains cas, nous avons eu la chance de retrouver les dossiers chez le notaire d’aujourd’hui qui a hérité du matériel d’alors.
        Evidemment, le confinement…

      • Courtes Geneviève dit :

        Merci je sais mais ne peux aller à Pierrefitte j obtiens des bribes par les résumés des inventaires de l’aryanisation du Gers au CDJC
        Par contre nous avons l adresse du notaire én 1945 pour Cahen on verra s il est question de L AP
        Mon principal problème est de savoir si les 19 biens ont été vendus et obligés d avancer
        Merci beaucoup

  31. Elisabeth NICOLAS-SLOTA dit :

    M.MOREAU,

    Un grand merci pour votre immense travail sur les déportés de la Sarthe.

    Enseignante en Histoire-Géographie en collège , j’ai énormément apprécié votre conférence à l’Atelier Canopé. Nous étions trois enseignants présents de l’établissement Saint-Julien. Nous sommes unanimes, votre travail mérite respect et remerciements. Vos recherches nous seront fortes utiles. Merci encore…

    Vous déplacer-vous dans les établissements scolaires? Nos élèves seraient ravis d’échanger avec vous sur ce sujet si délicat.

    Bien cordialement,

    Elisabeth NICOLAS-SLOTA

    • Bonjour,

      Merci pour vos encouragements. Effectivement je peux me déplacer dans votre établissement pour une conférence sur le même thème que celui développé hier. Avant ma venue je souhaiterai savoir à quel public je m’adresse, le thème voulu et le temps qui m’est imparti.

      Je me tiens à votre disposition si vous le souhaitez.

      Bien à vous.

  32. Elisabeth NICOLAS-SLOTA dit :

    M. MOREAU,

    Grand merci pour votre immense travail de recherches sur la déportation en Sarthe.
    C’est avec un grand intérêt que mes deux collègues et moi-même vous avons écouté hier après-midi à l’Atelier Canopé.

    Nous aurions aimé vous écouter plus longuement.

    Aussi, nous aimerions savoir si vous vous déplacer dans les établissements scolaires.

    Nous enseignons au collège Saint-Julien au Mans.

    Bien Cordialement,

    Mme NICOLAS-SLOTA Elisabeth (professeur d’Histoire-Géographie)

  33. David Added dit :

    Bonjour,

    Je ne trouve pas de trace de la déportation de mon grand oncle Joseph ADDED né le 14/02/1899, convoi 53 départ Drancy du 25/03/1943 ?

    JO1988p01385-01388 Added (Joseph) né le 14 février 1899 à Medjez-el-Bab (Tunisie) décédé le 30 mars 1943 Auschwitz (Pologne).

    Merci pour votre retour et dieu nous garde
    Bien à vous,
    David ADDED

    • Bonjour,
      Je n’ai recensé sur ce site que les déportés ayant un lien avec le département de la Sarthe. Or au cours de mes recherches je n’ai pas trouvé trace de votre grand oncle dans ce département. S’il a vécu ou séjourné dans la Sarthe merci de me donner plus de précisions

    • Christophe dit :

      Le convoi 53 est parti vers Sobibor.

      Mémorial de la déportation des Juifs de France.

      Cordialement,

      • Klebaner Patrick dit :

        Bonjour,

        Effectivement, le convoi 53 est parti de Drancy vers Sobibor. Dans ce convoi s’est trouvée ma grand-mère Haya, Sarah Klebaner d’abord réfugiée dès l’hiver 39 à La Châtre sur le Loir mais, qui, hélas, est retournée ensuite chez elle à Clichy où elle a été arrêtée par la police française. Bravo pour votre excellent travail, Patrick Klebaner, son petit-fils

        >

    • olivier cahen dit :

      ADDED Joseph né le 12/12/1899(44 a) à Med Jez Bab demeurant 78 fg du Temple Paris 11 dirigé en premier sur Beaune la Rolande , convoi 53

  34. Florence dit :

    Bonjour,
    Moi,qui m’intéresse à la famille Perelstein (Gerson) pour des raisons généalogiques J’aimerai savoir que s’est-il passé pour eux durant la guerre.Gerson et Alexandrine ont ils eu d’autres enfants que Jacques Marcel.Immense merci ,déjà pour les renseignements figurant sur ce site.

    • Je n’ai malheureusement pas d’autres informations que celles que j’ai fait figurer sur le site. Ce qui est curieux c’est que Gerson n’est pas reconnu juif alors que son frère Robert l’a été. Bien à vous.

      • Florence dit :

        Bonsoir,
        Merci quand même pour la réponse.
        Je ne sais pas si quelqu’un serait susceptible de m’aider ou m’éclairer dans mes recherches.
        Car,il s’agit pour moi d’une branche proche.
        Rien que lieu du mariage des parents de Gerson,où ceux d’ Alexandrine,me permettrait d’avancer et de découvrir leur histoire
        Je sais que Gerson est décédé le 4 février1979 à Dieppe et Alexandrine en 1976 .
        Mais,je n’ai pas trouvé de traces d’ enfants à part Jacques Marcel.
        Qu’est -il devenu ?
        Dans cette terrible période de notre histoire,les parents seraient-ils les seuls à s’en être sortis ?
        Cordialement.

  35. Royer dit :

    Bonjour .
    Je recherche tous renseignements sur Mme Houssin de Cérans – Foulletourte .
    Cordialement ch. Royer Président du Comité du Souvenir Français de Cérans Foulletourte .

    • Bonjour,
      Je n’ai pas beaucoup d’informations sur madame Houssin mais j’ai fait une fiche sur l’épisode de l’arrestation d’enfants juifs qui se trouvaient chez elle en 1942

      Marguerite HOUSSIN


      Bien à vous.

      • CAHEN Olivier dit :

        Il serait intéressant de parler du fils de Mme Houssin (fachisant), de leur absence le jour de la saisie des enfants, de la parfaite information des allemands ( un enfant placé ailleurs car se disputant avec un autre) et de l’incendie des archives à le fin de la guerre.

      • Je n’ai pas trouvé ces informations. Désolé, pourriez-vous m’en dire plus.
        Bien à vous.

      • Royer dit :

        Merci de votre réponse .

      • Je viens de compléter la fiche de madame Houssin suite au travail journalistique de Jean-François HAMEL

        Marguerite HOUSSIN

      • Royer dit :

        Bonjour .
        Bien vu votre mise à jour de la fiche de Mme Houssin suite aux documents transmis à Mme Drocourt .Depuis mes recherches j’ ai rencontré une personne qui été chez Mme Houssin avec sa soeur mais qui n’à pas subit l ‘arrestation .
        Cordialement Ch.Royer

    • On m’a parlé de Denise DECÈVRE ou GUÉNIFÉ et sa soeur RABINOVICI qui n’ont jamais été recensées chez madame HOUSSIN. S’agit-il de ces personnes?

      • Royer dit :

        Oui tout à fait , je vois que Mme Drocourt vous à tenu au courant . On peut vous joindre au Tél ?

      • Marine dit :

        Bonjour, avez vous des infos sur la famille Portmann vivant au 9 rue du port au Mans.

      • olivier cahen dit :

        Nom : PORTMANN
        Prénom : Raymond Amand
        Sexe : M
        Jour de naissance : 01
        Mois de naissance : 11
        Année de naissance : 1901
        Code insee naissance : 76540
        Commune de naissance : Rouen
        Pays de naissance : FRANCE
        Jour de décès : 17
        Mois de décès : 04
        Année de décès : 1982
        Code insee deces : 72181
        Commune de décès : Le Mans
        Pays de décès : FRANCE

      • Marine dit :

        Oui c’est bien lui…Avez-vous d’autres infos? Trace de judaïcité? J’ai plusieurs longues histoires a vous donner sur mon arrière grand père.
        Merci de me répondre.

      • olivier cahen dit :

        http://recherche.archivesdepartementales76.net/?id=viewer&doc=accounts%2Fmnesys_ad76%2Fdatas%2Fir%2Fserie_R_affaires_militaires%2FFRAD076_IR_R_001R_registres_matricules%2Exml&page_ref=11932550&lot_num=1&img_num=1&index_in_visu=
        Les recensements préfectoraux des juifs de la Sarthe ne comportent aucun PORTMANN ni autres documents de cette triste période. ( il ne figure pas dans le millier de juifs et juives qui ont vécu ou passé en Sarthe à cette période.
        Le mémorial de la déportation ne comporte pas le patronyme PORTMANN. Ce document est malheureusement un recueil des différents patronymes juifs ( français, allemands, polonais,…)..
        Il a épousé Simone LEFEBVRE.
        Donc il est quasiment certain qu’il ne soit ni juif ni d’origine juive . Son patronyme indique une origine allemande. ( de plus il était blond).

      • Marine dit :

        Justement ses parents ne se sont pas présenter à son mariage car il était à l’église ( interdiction de rentrer dans un lieu où il y a de l’idolâtrie). De plus, il a beaucoup aidé la famille Joffe habitant dans la même rue ainsi qu’un monsieur Fillipo qui était chef de la police et Juif aussi. Il avait une société de transport grâce à son laisse passé un à où amené beaucoup de Juifs en zone libre. Il y a quelques année une dame cherchait sa fille ( à Raymond)dans un journal au Mans, je ne sais plus lequel pour la remercié de tout ça.

      • olivier cahen dit :

        Il y avait en effet 5 rue du Port JOFFE Zalman (Salomon) (o 1885 Violzi- 1950) raflé à Nice, son épouse Marguerite née STARCK (o 1895 Paris- 1952) leurs enfants Paulette ( 1920) arrêtée au Mans , transférée à Drancy ( covoi 53 Sobibor) et Henri(1925 Paris ) arrêté en Seine et Marne à Saint-Siméon avec sa mère , transférés au camp de Melun. Concernant un Filipo je n’ai trouvé qu’un Filipowski ( Paris) modification de son identité ?

      • Henri JOFFE est né en 1924 au Mans il n’a rien à voir avec Henri JOFFE né en 1925 à Paris et recensé au Mémorial de la Shoah. Quant à Salomon JOFFE raflé à Nice il était né en 1890 à Daugavpils. Ce n’est pas le Salomon JOFFE né en 1885 à Zidnis et habitant au 5 rue duPort.

      • Marine dit :

        Fillipo ( peut être qu’effectivement son nom a été modifie) il était chef de la police a Rouen à la base mais logeait pendant la guerre caché chez mon arrière grand père rue du port.

      • Joffe thibaud dit :

        Bonjour,
        Pour Paulette j’avais les infos.
        Pour la rafle de Nice et l’arrestation à Melun, je sais que mon père et mon grand-père se sont cachés à Nice et dans la région mais je ne savais pas qu’il yavait une rafle les concernant.
        Je suis preneur de toutes les infos concernant cette période et l’après guerre.
        Toutes les dates correspondent sauf Henri, mon père., né en 1924

  36. Michel BRAMI dit :

    Monsieur Moreau bonjour,

    Merci pour les modifications apportées aux renseignements concernant ma Grand Mère Sura Jablonka et ma tante Fanny Jablonka.

    Concernant mon histoire familiale:

    Szulem Jablonka

    Engagé Volontaire au 22 RMVE fait prisonnier le 06/06/1940 dans la Somme
    Il sera détenu jusqu’à la fin de la guerre.Stalag VII A à Moosburg (Allemagne)

    « Le 6 juin 1940, après d’âpres combats, les bataillons du 22e R.M.V.E. cessent le combat les uns après les autres, faute de munitions. A Mazancourt, la résistance du 2e Bataillon prend fin à 14 h. 30. Le sort de Fresnes est lui aussi réglé vers 15 heures. En entrant dans le village les Allemands sont surpris du petit nombre de combattants qui les ont mis en échec aussi longtemps. Quant à Marchélepot, où le P.C. du régiment est installé, le commandant Hermann tient jusqu’à 17 h. 15, heure à laquelle il rend les armes.
    Dans Misery, le 3e Bataillon du 22e Étrangers et les éléments du 112e R.I.A. combattent encore plusieurs heures. Ce n’est qu’à 18 h. 30 que le combat cesse, là aussi, quand viennent à manquer cruellement les munitions. (VASSELLE Pierre, Les combats de 1940, 18 mai – 9 juin, Haute-Somme et Santerre, Ligne de l’Avre et de l’Ailette, Imprimerie Carpentier Montdidier, 1970.)
    ORDRE N° 651-C  »

    Sura Jablonka :

    Sura et Fanny 4 ans seront arrêtées en 1942 (rafle du vel d’hiv). Elles seront épargnées ,Szulem étant prisonnier de guerre.

    « Les Juifs étrangers épargnés, en dehors de quelques nationalités provisoirement protégées, ont été les porteurs des cartes de légitimation de l’UGIF, distribuées à partir du 6 juillet, les familles de fourreurs travaillant au service des Allemands et bénéficiaires d’Ausweis, les conjoints et veufs de non Juifs, les femmes sur le point d’accoucher ou ayant un enfant de moins de deux ans, ou encore épouses de prisonniers de guerre. »

    Logna et Henri sont placés depuis 1941 dans la famille Tempé à Nesle dans la Somme.
    Fanny les rejoindra en 1942 après la rafle du vel d’hiv.

    Ma Grand Mère Sura, restée seule à Paris ira de cache en cache jusqu’à la fin de la guerre.

    Suite à une dénonciation en 1943 (date à confirmer) les 3 enfants Jablonka seront transférés de la Somme pour être cachés chez Madame Lardeux à Saint Mars du Désert Loire Atlantique, ils retrouveront chez cette nourrice de l’assistance publique deux autres enfant juifs Fanny Fenstermacher et son frère Simon Fenstermacher ainsi que 4 enfants places par une assistante sociale :Maurice ,Rachel ,Monique et Denise Moulet et 4 enfants places par l’assistance publique Jeannine,Jacqueline,Antoinette,Gisèle.(dont je n’ai pas les noms de famille)

    Le 21/04/1945 Sura écrit à UJRE pour les remercier de l’aide reçue,
    Chers Camarades,je n’ai aucune nouvelle depuis 5 mois.
    Le 19/08/1945 : Chers Camarades Mes enfants sont à la campagne ils vont rentrer le 1 septembre, merci pour votre mandat de 750 francs.

    Szulem sera de retour du camp de prisonnier le 13/10/1945
    Logna, Henri et Fanny rentrerons en mauvaise santé de chez Mme Lardeux, pris en charges par O.S.E uniquement après guerre.

    Le Mémorial de la Shoah me transmet deux listes extraites des archives (source YVO New York Rue Amelot MK 510 (190).708).

    Dans la première liste apparaît le nom de Jablonka Henri (la somme de 300 francs versée)
    Dans la seconde liste apparaît Jablonka Henri 9 ans 1/2 père Pol. Prisonnier.
    Henri né le 23/03/1934 cette fiche daterait donc de Septembre 1943

    Je recherche par quelle organisation ou mouvement le placement entre 1941 et 1945 de ma Mère, Tante et Oncle a été fait.
    Peut être que parmi vous, un nom , un lieu évoqué dans mon histoire familiale évoquera des souvenirs.

    Merci pour vos réponses.

    Michel Brami fils de Logna Jablonka

  37. LOUVET dit :

    Bonjour, j’ai fais quelques recherches hier soir et j’aurais des indices pour retrouver les descendants de Léontine BRACCHI, comment les transmettre?
    merci par avance

  38. Rousseau Armel dit :

    Bonsoir
    Je suis Mr. Rousseau de Torcé ,
    J’ai retrouvé une photo du grenier dans son état avant restauration , dans lequel il y avait les étoiles juives et les dessins sur la porte Si vous pensez que cette photo peut vous être utile je peux vous la fournir .

  39. Genevieve Courtes dit :

    Arrivée en novembre 39 Bien avant l exode mai juin 40
    Étape antérieure?
    Directe de Pologne?
    A cette date avant l occupation cette arrivee
    Ressemble à une fuite devant la poussé aol en pologne
    En nov 39 ce n’était pas encore le maire nommé de vichy qqs réflexions je n ai peut être pas vii le début du textr

    • BRAMI dit :

      Bonjour,

      Mes grands Parents seraient arrivés en France avant 1930 ils se sont connus en France .
      Ils se sont mariés religieusement en France. Ma Mère est née le 19/07/1932 à Paris.
      Concernant le maire, Mr Emile Coubart , il est maire de st Jean de la Motte de 1937 à 1942.

      Très Cordialement .

      Michel Brami

      • Courtes Geneviève dit :

        Merci très intéressant dans le cadre de la migration polonaise des années 20 cela n explique pas la présence en sarthe en novembre 29 retrouver d autres polonais? L entrée en guerre avec la Pologne?
        Bonne chance avec notre spécialiste sarthois de la question Yves Moreau

  40. Catherine Lustman dit :

    Bonjour Monsieur Moreau,
    Je découvre votre site, bravo et merci pour ce travail !
    Je fais actuellement des recherches généalogiques sur ma famille pour laisser un livre et une histoire à mes enfants.
    Je voulais juste vous informer, que mon père et ma tante (Julius et Hélène Lustman), alors enfants, ont également été caché dans la Sarthe, à Saint-Jean de la Motte, chez Monsieur et Madame Mignot de 1942 à 1944. Ma grand-mère Bina Lustman, d’abord résistante à Paris, vient finalement se cacher avec ses enfants fin 1943/début 1944 (je ne sais pas exactement)
    Ce sont le neveu et la nièce et la soeur de Chana Senjor.
    Voila, si vous avez besoin d’autres précisions, n’hésitez pas à me contacter !
    Catherine Lustman

    • Bonjour madame,

      Merci pour vos commentaires. j’ignorai totalement leur présence à St Jean de la Motte. je souhaiterai faire une fiche sur chacun d’eux si vous en êtes d’accord. Pourriez-vous me fournir leur date et lieu de naissance, adresse à Paris, dates d’arrivée et de départ de la Sarthe, une photo de cette époque. De même pour Chana Senjor.

      Merci d’avance.

      Bien à vous.

    • Michel BRAMI dit :

      Bonjour à tous,

      Avant tout Bravo pour votre Travail .

      Je reconstitue mon histoire familiale et celle-ci m’amène à St Jean de la Motte ou ma Grand Mère Sura Stolowicz et mon Grand Père Szulim Jablonka (engagé volotaire 22RMVE) ont été mariés civilement par le Maire Monsieur Emile Coubart le 09 novembre 1939, ils sont accompagnés de leurs trois enfants : Ma Mère Logna Jablonka, ma tante Fanny Jablonka et mon oncle Henri Jablonka.

      Alors qu’aucun lien ne les rattache à cette commune de la Sarthe, comment arrivent ils à St Jean de Motte ? quelle organisation ou mouvement les a dirigé vers cette destination ?

      Quelle était la position du Maire Mr Emile Coubart, était il impliqué dans le sauvetage des familles juives ?

      je pense que ma Grand Mère et ses 3 enfants seraient restés à st Jean de la Motte durant une période assez longue peut être une année, j’ai contacté l’école communale, mais malheureusement les registres des enfants inscrits (39/45) ont disparus, ceux apparaissent en partie sur votre site, quelqu’un a t il des informations à ce sujet ?

      Au fil de mes recherches j’ai constaté que de nombreuses familles sont passé, ont habité, à st Jean comment sont elles arrivées dans cette commune ?
      Je suis intéressé par tous documents, sources et conseils pouvant éclairer ma recherche sur la présence Juive à St Jean de la Motte.

      Très Cordialement
      Michel Brami ( fils de Logna Jablonka)

      • Busson dit :

        Bonjour, il serait judicieux de faire une recherche par le lien des photos d’école de la commune (copain d’avant). Mon pére sur Mansigné commune à côté de St Jean de la Motte se retrouve une une photo de groupe en fête de fin d’année de cette période d’occupation avec des enfants (cachés) dans des familles d’accueils. Cela m’a beaucoup étonné mais certaines familles gardaient des enfants de la pupille des nations (De l’assistance publique) ce qui était une source de revenus complémentaire . Voilà mon avis perso. Mr Busson

      • Genevieve Courtes dit :

        Ok mais pas en novembre 39 période de la drole de guerre

  41. GEROME dit :

    Bonjour
    Je suis le petit fils de Marin GEROME habitant 85 rue voltaire au MANS en1942
    Témoin des faits J’écris à M HEYMANN

  42. HEYMANN dit :

    Bonjour Monsieur

    En préambule, toutes mes félicitations pour votre travail de mémoire .

    L’objet de mon mail est double :
    1/ je souhaiterais retrouver les descendants de Mme BEAUTE et de M.MARIN ( si cela est possible).

    Toute la famille paternelle a été déplacée au Mans .
    RENÉ ET LAURE HEYMANN , domiciliés 83 rue Voltaire ont été deportés ( leurs noms figurent aux nouveau memorial du Mans.
    Leurs enfants, Pierre et Marlyse ont été sauvés par les voisins précités des83 et 85 rue Voltaire.

    Je suis le fils de Pierre
    Sans l’action héroïque ces personnes, je ne serais pas à même de vous écrire aujourd’hui.
    ( Qui sauve une vie , sauve l’humanité entière).

    2/ je suis tombé sur une info de lycéens du Mans souhaitant à l’initiative du Proviseur, apposer des plaques .
    Je souhaiterais m’y associer le cas échéant.

    Avec tous mes remerciements,
    Très Cordialement,

    JEAN RENÉ HEYMANN
    10 rue Gounod
    F67000 STRASBOURG

    • Busson dit :

      Shalom,Bonjour M.Heymann,
      Je vais regarder si je trouve une trace de cette famille,avec l’aide des archives de la Sarthe on devrait avoir une traçabilité de cette famille.
      Je vous tiendrais au courant si je trouve quelque chose. Yom Tov
      M.Busson

    • Bonjour,
      Auriez vous des photos de René, Laure, Pierre et Marlyse de cette époque que vous accepteriez que je fasse figurer sur le site?
      Merci d’avance.

    • GEROME dit :

      Bonjour
      Je suis le petit fils de Marin GEROME habitant le 85 rue voltaire LE MANS en octobre 1942;
      J’ai été témoin de L’arrestation de vos arrières grands parents.je vous ecris prochainement;
      Bien cordialement.
      André GEROME

  43. Courtes Geneviève dit :

    Bravo

  44. fred buzance dit :

    Bonjour M. Moreau,

    je m’adresse à vous en ce mois d’avril pour vous convier à une cérémonie, conférence le 30 avril à 14h au lycée Nazareth.
    Je suis frédéric Buzance, enseignant d’histoire Géographie, et avec les élèves nous avons procédé à un recensement géographique des enfants cachés dans le sud Sarthe ainsi que des Justes. (à cette occasion nous accueillerons par ailleurs France 3 pays de la Loire, édition Nantes)

    Nous aimerions que vous participiez à cette restitution car nos èlèves se sont énormément aidés de vos travaux pour réaliser une carte interactive que nous vous donnerons à l’occasion pour votre site.
    Par ailleurs, comme vous l’avez fait en 2010 avec mon collègue S. Fouchard, nous sommes parti avec la Région visiter le camps D’Auschwitz.
    je reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.

    • Ce sera avec grand plaisir que j’assisterai à votre conférence du 30 avril prochain. Bien à vous.

    • Busson dit :

      Bonjour, petit fils de « Juste parmi les Nations » je suis à votre disposition pour vous narrer l’histoire d’une famille Juive cachée par mes Grands-Parents paternels sur le sud Sarthe.
      Histoire qui démarre en Pologne.et j’ai avec chance et bonheur retrouvé les enfants de cette époque troublé de notre pays.
      Cordialement vôtre.
      Mr Buisson

  45. Normand Jérôme dit :

    Bonjour Monsieur Moreau,

    Je suis enseignant en histoire-géographie au lycée agricole de Rouillon et ma classe de 1e S a été sélectionnée pour aller à Auschwitz (voyage ayant eu lieu la semaine dernière) dans le cadre d’un projet régional en collaboration avec le Mémorial de la Shoah. Nous travaillons sur l’histoire du camp de Mulsanne (je suis en lien avec M. Rosensohn) et de l’internement et déportation des 115 Juifs en 1942 (notamment les 45 enfants). Je voulais savoir s’il était possible d’organiser une rencontre avec les élèves. Merci d’avance pour votre réponse. Cordialement

    • Ce sera avec grand plaisir que je vous rencontrerai ainsi que vos élèves pour une conférence sur la déportation d’octobre 1942 à partir du camp de Mulsanne.

      Je souhaiterai savoir à quelle date et à quelle heure ainsi que le temps que vous m’accordez. Prévoir une salle avec vidéoprojecteur.

      Bien à vous.

  46. Daniel Bergfeld dit :

    Bonjour,
    Ma mère a été cachée à Ecommoy (à partir de septembre 1944); elle y est arrivée, de Paris, grace à l’ordre des Pères de Sion.
    Elle habitait chez « une vieille dame » 10 rue du Docteur Rouleau et a été scolarisée à Notre Dame (ce qui l’a sauvée; les enfants juifs scolarisés à l’école municipale ayant tous été déportés)
    Sur ce lien, une photo de classe https://photos.app.goo.gl/33JGtvJKVgcR8rNw5
    On notera les fillettes au centre du premier rang portent une médaille (pupilles de la nation ou filles de prisonniers de guerre – comme ma mère).

    • Merci beaucoup pour ces informations. J’avoue avoir du mal à recenser tous les enfants cachés surtout que pour leur salut aucun document n’existe. Seule la mémoire préserve ces expériences précieuses mais douloureuses. Accepteriez-vous que je fasse figurer votre mère sur mon site?

      • Laurence Klejman dit :

        Une personne évoque un enfant caché àpartir de septembre 1944… ne s’agit-il pas plutôt de 43 ou 42?

  47. Courtes Geneviève dit :

    Yves Moreau vous expliquera sa méthode sa passion et aussi les difficultés de la recherche qui par définition evolue

  48. Counil dit :

    Bonjour,
    Avec les élèves nous préparons un sejour à Auschwitz en mars prochain en essayant de retracer le parcours des Juifs du Mans déportés pendant la 2e GM. Votre remarquable travail est noté source principale. Accepteriez-vous de venir rencontrer mes élèves pour leur expliquer la façon dont vous avez travaillé. J’enseigne au Lycee Yourcenar au Mans,
    Cordialement.
    Ch. Counil

    • Busson. dit :

      Bonjour,
      Une petite question, quand avez vous programmé votre voyage? et serait-il possible que 1 ou 2 personnes vous accompagnent?
      Mr Busson fils de famille de « Juste Parmi les Nations ».

      • KLEJMAN Laurence dit :

        Bonjour M. Busson. Êtes-vous informé que le 1re Forum des Générations de la Shoah se tiendra le 1er week-end de février (samedi soir, dimanche – ateliers, conférence, déjeuner, diner- et lundi pour ceux qui veulent visiter le Marais et découvrir Drancy). Le Forum est ouvert à tous les Justes et leurs descendants. contact https://forumgenerationsdelashoah.blogspot.com/ N’hésitez pas à me contacter par convoi77.org Laurence Klejman

      • KLEJMAN Laurence dit :

        Bonjour, je ne sais pas si vous avez reçu mon précédent message qui informait sur la tenue à Paris, le 1er week-end de février du 1er Forum des Générations de la Shoah, qui réunira des témoins, descendants (plusieurs générations…) de Juifs déportés, d’enfants cachés, etc, et de Justes et descendants de Justes.
        contact : http://forumgenerationsdelashoah.blogspot.com/
        ou moi, directement ici
        Bonnes fêtes !

  49. Ellen dit :

    Bonjour
    Auriez-vous un mail sur lequel vous envoyer une demande pour ma mère enfant cachée dans la Sarthe ?
    Merci

  50. JOFFE Thibaud dit :

    Bonsoir,
    Je suis toujours avec un grand intérêt toutes vos recherches sur ce site et découvert de nouvelles choses sur ma famille régulièrement.
    Je reçois par mail toutes les publications de ce site.
    Je vous félicite à nouveau pour tout ce travail,
    J’ai changé d’adresse mail,

    Mr JOFFE Thibaud

    • Merci beaucoup. Il est vrai que je continue à alimenter le site avec de nouveaux documents au fur et à mesure de leur découverte. En ce qui concerne votre famille je me suis concentré sur Zalman et Paulette mais c’est souvent le hasard qui préside à de nouvelles trouvailles.

      • JOFFE Thibaud dit :

        Bonsoir,
        Je suis également à la recherche de données sur cette époque et toutes les données que j’ai sont sur ce site, merveilleux effectivement,qui m’a donné beaucoup d’informations ainsi que beaucoup de données d’état civil.
        Je ne suis pas courant de cela.
        Mes grands parents paternels, mon père et ma tante étaient juifs et habitaient 5 rue du port au Mans au 1er étage et étaient propriétaire de tous les bâtiments.
        Ma tante est morte en déportation, mes grands parents en 1950 et 52 et mon père en 1986..
        Ils se sont cachés à Saint-Léonard des bois et ailleurs dans la Sarthe puis du côte de Nice.
        Toutes les informations sont sur ce site sur la fiche de Zalman JOFFE mon grand père

    • Marine dit :

      Bonsoir Mr Joffe, je me permets de vous écrire un message car je suis à la recherche de l’histoire de ma famille. Mes arrières grands parents ont caché une famille Joffe rue du port pendant la guerre mondiale. J’ai lu que votre famille y résidait aussi… Il y a plusieurs années une personne à rechercher ma grand mère qui à l’époque de la guerre n’était qu’une enfant afin de la remercier de ce qu’ils avaient fait pour eux… Avez-vous connaissance de cela?

      Par ailleurs, je demande à la personne alimentant ce merveilleux site internet de me contacter pour lui donner des informations sur ma famille.
      Bien à vous.

      Marine

  51. MORENCE' dit :

    NISAM SON EPOUSE ET SON ENFANT DE 8 ANS DEPORTES ET GAZES SUIVANT LE MEMORIAL CIMETIERE DE L OUEST AU MANS PAS DE TRACE SELON VOUS AUCUNE INFORMATION MYSTERE ? CONTINUEZ LES RECHERCHES. AUX ARCHIVES DEPARTEMANTALES DE LA SARTHE ET MEMORIAL SERGE KLARSFELD DISPARU OU ECHAPPE ?

    • J’ai suivi toutes les pistes possibles, Serge Klarsfeld, Yad Vashem, le consistoire, internet. Je n’ai pas trouvé de trace de la famille Nisam. Sur mon site j’ai demandé des informations, en vain. Je ne sais que penser de cette inscription. Vraiment désolé.

  52. MORENCE' dit :

    UN CERTAIN MEITLIS ADAM 09011928 PARIS DERNIERE ADRESSE CONNUE 04 BOULEVARD GAMBETTA LA FLECHE SARTHE RASSEMBLEMENT NICE CONVOI 68 DU 10 02 1944 MONSIEUR YVES MOREAU AVEZ VOUS TROUVE ? MYSTERE
    MEITLIS AGE 15 ANS ET DEMI SEUL SANS SA FAMILLE .

  53. 1011 dit :

    En lien avec les travaux de mémoire Déportés Sarthe, je me permets de vous envoyer des informations sur le travail que je réalise de mon côté.

    N’oublions pas aussi les camps français premier jalon vers les camps nazis ! C’est un sujet totalement méconnu, voire occulté par les français en général. L’art peut-il donner ou redonner la mémoire ?

    Plasticienne engagée, j’ai réalisé une série de photographies brodées intitulée « Lettres mortes » sur la rafle du Vel ‘hiv et l’histoire de Marie Jelen, enfant déportée.
    La série « Lettre morte  » sur : https://1011-art.blogspot.fr/p/lettre.html

    Mais aussi une seconde série intitulée » Enfant de parents  » sur les camps d’internement en France pendant la seconde guerre mondiale. L’oeuvre  » Enfant de parents  » est à découvrir sur (un lien permet l’accès à votre site : https://1011-art.blogspot.fr/p/enfant-de-parents.html

    Ces séries furent exposées à trois reprises à Chambéry en Savoie, Villard-Bonnot et à Uriage en Isère et j’espérerais cette oeuvre dans un lieu de mémoire.

    Serge Klarsfeld a salué ce travail.

    • Concernant modestement le département que j’ai étudié c’est-à-dire la Sarthe il a existé au moins 3 camps d’internement, pas de d’extermination. Celui de Mulsanne pour lequel une recherche a été conduite il y a quelques années, celui d’Auvours et celui de Coudrecieux dont je n’ai pas connaissance de travaux de recherche.
      C’est vrai qu’ils étaient la première étape vers Drancy et Pithiviers c’est-à-dire l’antichambre de l’extermination.
      Merci de vos remarques et bravo pour votre travail si émouvant.

      • 1011art dit :

        Ce travail sera exposée en 2022 dans le cadre de la commémoration de la rafle du Vel d’Hiv en partenariat avec le CRIF de Grenoble.

      • olivier CAHEN dit :

        Il faut différencier l’internement de juifs étrangers, les 2 rafles : celles des adultes et grands garçons pui celle des mère avec les petits enfants, et les arrestations ponctuelles ( parfois de plusieurs personnes sur dénonciation commla pension pour enfants sarthoise, de personnes à qui les services préfectoraux avaient mis en résidence, dans le train,…..). Suivant les cas ils ont été placés en divers endroits dont la prison du vert galant, Mulsanne( camp militaire puis pour les renforts anglais, d’internement de gens du voyage, de juifs, puis des officiers allemands…rapidement éffacé après guerre !!) …..Il y a eu 1 convoi parti d’Angers qui en a pris un grand nombre . A part quelques uns qui sont descendus à Paris, ce convoi est allé directement à Birkeneau ( en fait parler d’Auschwitz est une erreur dont on se rend bien compte lorsque l’on visite ce camp à part qui avait comme seul but de « valoriser » les biens des déportés jusqu’à leurx cheveux et même leurs cendres vendues comme engrais !! Drancy était un camp de concentration . Le Struthof est le seul camp d’extermination qui a existé en France. Est peu connu l’internement de juifs de la côte atlantique et manche devenue interdite dans des localités en Sarthe surveillés par des français pronazis locaux puis déportés.

  54. Cher M. Yves Moreau,

    Malka BLUMENSTOCK est née MICENMACHER; Son acte de naissance numéro 306 est ici
    https://szukajwarchiwach.pl/35/1753/0/2/103/skan/full/R0Ifh6F-aCU01BiPseUj9A

    Contactez moi par mél svp

    Jean-Pierre Stroweis

    • Klejman Laurence dit :

      Je suis en contact avec un membre de sa famille. Avez-vous des documents la concernant ou bien ses filles? Laurence Association Convoi 77

  55. Jean-Pierre Stroweis dit :

    Bonjour Yves, beau travail.

    BLUMENSTOCK Malka née MICEMRACKER : Son nom de jeune fille est en fait MICENMACHER.
    J’ai trouvé son acte de naissance;

    Je vous signale le site que je viens de mettre en ligne,

    • Merci de l’information. J’ai corrigé son nom de jeune fille.

      • Olivier Szlos dit :

        Bonjour Yves,
        Un superbe travail, ce site est extraordinaire, bravo et merci. Je vous signale que je suis le petit cousin de Malka Rajzla MICENMACHER BLUMENSTOCK, (ou cousine germaine eloigne au 2eme degre de on grand-pere.) Le nom de ses parents son Abram MICENMACHER (Lublin, 1857- 1920) et Marya Faiga ZILBERMEL (Lublin, 21 Octobre 1860 – 1929), je peu vous envoyer un lien pour leur acte de mariage. Son mari, Szlema Zelman BLUMENSZTOK est ne a Lublin en 1876 et decede a Vienne en 1936.
        Merci encore. Olivier

      • Merci monsieur pour vos compliments. J’ai rajouté les informations que vous m’avez communiquées sur votre grand tante.
        Je recherche une photo de Malka et de sa fille Anna. Si vous en possédiez et acceptiez que je la publie sur le site dites-le moi. Ce serait un grand honneur de les rajouter et de leur rendre cet hommage. Si vous souhaitez que je rajoute d’autres informations je suis à votre disposition.
        Bien à vous.

    • Olivier Szlos dit :

      Bonjour Jean-Pierre,
      Je suis content de vous avoir rencontre a Varsovie. C’est grace a votre travail et ce nouveau site que j’ai pu identifier ma cousine Malka Rajzla MICENMACHER BLUMENSTOCK. Et j’ai fait d’autres decouvertes. Merci.

    • Bonjour, je suis Laurence KLEJMAN membre de Convoi 77, l’association des familles et déportés de ce convoi (31 juillet 1944), avec lequel est partie Malka Blumenstock (et d’autres membres de sa famille). Vous pouvez entrer en contact avec l’association ou prendre connaissance de nos actions (essentiellement avec les scolaires, mais bien entendu avec les familles ou toute personne intéressée par ce convoi (ou d’autres). http://www.convoi77.org/

  56. Corbin dit :

    Étonné de ne trouver aucun commentaire sur la petite commune de Sainte sabine sur longéve
    Dans la Sarthe . De nombreuses familles ont accueilli de nombreux enfants juifs pendant les années 1942 à 1944 .

    • Il existe pourtant deux fiches concernant cette commune qui à l’époque s’appelait Sainte Sabine tout court

      Sainte Sabine


      Si vous avez d’autres informations merci de me les communiquer

    • Bernard LYON-CAEN, 14 rue Franklin 92400 Courbevoie dit :

      L’article sur la famille LEVEN et HESS est paru dans le récent numéro (132) de Généalo-J, revue du Cercle de Généalogie Juive.
      Que les personnes que cela intéresserait me communiquent leurs adresses, postale et électronique.

  57. Bernard LYON-CAEN, 14 rue Franklin 92400 Courbevoie dit :

    Préparant , pour la revue du Cercle de Généalogie Juive (Généalo-J) un article sur la famille LEVEN, je désire y insérer la photo de Georgette Blum, née Leven, qui figure sur votre site. Est-il possible que vous me l’adressiez en haute définition et m’autorisiez à l’utiliser ?
    Même chose pour celle celle d’Henri Hesse ?
    Merci d’avance.

    • Les photographies de Georgette Blum et Henri Hesse m’ont été communiquées par madame Laure MORIN-BAUMIER. Je l’ai donc contacté pour l’informer de votre projet et de votre demande. Elle m’a dit qu’elle vous fera parvenir la photo de sa grand-mère Georgette BLUM. Quant à Henri Hesse elle demande l’autorisation de vous la communiquer à son cousin Thierry Hesse.

      Bien à vous.

      • Ca, c’est extraordinaire. Laure Baumier est la petite fille de la soeur de ma grand- mère, née Bernheim. Si elle veut me contacter, je suis en Sarthe. Et je serais curieuse de voir la rapport généalogique avec Monsieur Lyon- Caen ?
        Présente sur Geni , Geneanet, Ancestry, Jewishgen et la cercle de généalogie juive.

        En vous remerciant, Jessica Christophe.

      • Je transmets votre message à Laure Baumier pour qu’elle prenne contact avec vous

      • C’est un positif. Nous sommes cousines. Nos grand-mères sont soeurs. Merci infiniment.
        Jessica

      • Bernard LYON-CAEN, 14 rue Franklin 92400 Courbevoie dit :

        L’article sur la famille LEVEN paraîtra en principe fin décembre. Je le communiquerai volontiers à celles et ceux qui s’y intéresseraient en m’adressant leurs coordonnées d’envoi (adresse postale ou électronique) à : bf.lyon-caen@orange.fr

  58. Natacha Wawrzyniak dit :

    Bonjour,
    Je cherche à contacter M. Olivier Cahen car j’ai découvert cet été sur le site du Cercle de Généalogie Juive qu’il avait posté un sujet concernant sa recherche de descendants de Georges Cahen, né à Metz en 1904 (devenu Calien en 1945). Il s’avère que je suis sa petite-fille.
    Je serais donc très heureuse de rencontrer M. Cahen (le hasard fait que je réside également dans la Sarthe !). Merci infiniment pour votre aide.
    Natacha (06 70 56 55 86)

  59. Danny Reed dit :

    Thank you for this website. My great Uncle, Harry Rabinowitz, was a passenger on the St. Louis. In your research did you find out why he was sent to Le Mans, or why any St. Louis passenger was sent to whatever towns they went to after disembarking from the St. Louis?
    My grandmother was his sister. She and her husband emigrated to Cuba from Kybarti Lithuania in 1927. Harry was supposed to join them in Cuba.

    • Olivier GUIVARC'H dit :

      It is the Ministry of the Interior and the Police that affects the refugees in contact with the Joint Distribution Comittee : on June 26th, 1939, 49 people leave for Poitiers, 65 for Le Mans, 33 for Laval, 18 for the Center of Martigny (department of Vosges), the rest is managed on Paris to be distributed in other cities.

  60. Helene Frisch dit :

    Je voudrais tout d’abord vous féliciter votre remarquable travail sur l’histoire des juifs de la Sarthe. J’y ai trouvé des documents sur ma mére Denise Piron, née Lévy, non déportée, que je n’aurais jamais pensé à chercher. Vous pouvez être interessé à connaître ses liens avec Chemiré-le-Gaudin et ses lieux de résidence après le séjour à Chemiré.

    Ma mére, professeur agrégée d’allemand était de Paris. Son mari, Robert Piron, ingénieur du Génie Maritime était du Mans. Cétait le fils d’Auguste Piron, décédé tragiquement en décembre 1936. En son souvenir la ville du Mans a donné son nom à une rue et à une école.

    Au printemps 1940 ma mère a rejoint son mari, affecté à l’arsenal d’Indret. A l’arrivée des allemands mon père a été embarqué pour Toulon. Enceinte elle est restée à Nantes, jusqu’au moment de ma naissance en août 1940. C’est de là qu’elle a été à Chemiré-le-Gaudin, à La Sauvagère, une propriété appartenant à Lucien Trouvé, un oncle de mon père. Comme indiqué dans le dossier de ma mére, après Chemiré, elle a été à Toulon rejoindre mon père. C’était en novembre 1940. Ils y sont restés environ un an. Ensuite ils ont été près de Lyon pendant à peu près un an. Ma mére a eu un deuxième enfant. En novembre 1942, quand la zone Sud a été occupée, ils ont partis à Grenoble en zone italienne. Puis quand les allemands ont remplacé les italiens, ma mère avec ses deux jeunes enfants s’est d’abord éloignée un peu de Grenoble, et ensuite a été dans de la famille près de Limoges, puis chez des amis près de Roanne. Après la libération de Grenoble en août 1944, elle est retournée à Grenoble où elle a retrouvé un poste de professeur d’allemand. En septembre 1945 la famille est rentrée à Paris. Il me semble que c’est un parcours typique pour une famille juive française qui a pu survivre grâce à l’aide de nombreux amis et parents, en vivant avec de faux papiers et en prenant beaucoup de précautions.

    Les liens avec Chemiré-le Gaudin sont restés très forts après la guerre. Nous passions à La Sauvgère, et aussi au château de Belle-fille, une autre propriété de Lucien Trouvé, une bonne partie des vacances d’été et les vacances de Pâques. J’ y ai mes meilleurs souvenirs de vacances. Ces deux propriétés sont toujours dans la famille de Lucien Trouvé. Deux petit-fils sont devenus propriétaies et en prennent grand soin. Habitant près de Nice je n’ai malheureusement pas eu l’occasion d’y retourner.

    Vous donnez dans le dossier sur ma mère l’arrêté d’interdiction d’enseignement d’octobre 1940. J’aurais aimé trouvé un arrêté de l’automne 1944 la nommant professeur à Grenoble. Peut être les Archives Départementales de Grenoble possèdent-elles un tel document. En tout cas il n’est pas numérisé.

    Pour terminer, j’ajouterai que ma mère est toujours en vie. Elle a cent ans mais la tête encore assez claire. Enfants et petit-enfants nous essayons de reconstituer le parcours assez compliqué des années de guerre. Ses souvenirs à elle et un site comme le votre sont une grande aide.

    Hélène Frisch, née Piron.

    • david dit :

      C est une erreur mon frère ne 20 septembre 1931 n est pas un demi frère c est le mien szabmacher Charles ma maman est dajczer Sara je suis née a vitrage sarthe 1944 sous le nom de Liliane lesourd ma mère m a reconnu en 1945

  61. STEINBERG Alain dit :

    Je suis un neveu de Steinberg Salomon Sylvain, j’ai découvert par votre site, qu’il fut déporté après avoir résidé dans la Sarthe.
    Quelques petites erreurs : Sylvain était le fils de Lazare STEINBERG et non STEINGERG,
    il était né à PODGORZE en Pologne et non à PODGORGE.
    Je dispose, si vous le souhaitez de la photo originale (donc de meilleur qualité) de celle de votre document YV-2. Votre photo provient soit de Yad Vashem, ou du mémorial de la Shoah à Paris. C’est une photo partielle (à droite figure mon père). A Yad Vashem elle fut transmise par ma Tante Annie Steinberg, en revanche l’autre fiche de yad vashem de Kh. Vilerfurt est en réalité celle de Baruch Willerfort, le mari de Annie (Steinberg) et Beau-frère de Sylvain.

    • Bonjour, je viens de trouver vos précisions au sujet de Sylvain Steinberg et de ses proches. Par un hasard remarquable, je viens de trouver une seule référence à Annie Steinberg dans une lettre de septembre 1942. Voici le passage de cette lettre où Annie est mentionnée :
      « … au camp où j’ai été avec Annie Steinberg, celle-ci m’a demandé si Cécile et Germaine ne pouvaient pas venir chez elle, elles y seront bien soignées. » Le camp en question se trouvait dans le Gers, probablement à côté de Condom.
      Annie faisait-elle partie d’une organisation qui s’occupait d’enfants juifs ?
      Contactez-moi par mon site Internet : http://www.levendel.com et laissez-moi un message, ce qui nous permettra de nous écrire par mail. J’habite à Chicago.

      • Martin. Michel dit :

        Voilà une photo d’une femme et son enfant résidents à la FSM, l’enfant a survécut et la femme à terminée hélas a la déportation.

  62. souris grise dit :

    bonjour .

    c’est tout à fait par hasard que je suis arrivée sur votre site ( à cause du problème des stats ) …je ne suis pas juive ,( je suis catho ) mais je trouve que vous faites un travail remarquable …je vais vous mettre sur mon bloggroll car votre site peut intéresser d’autres personnes ..
    ces recherches sont très importantes …

    recevez mes amitiés .
    Chris .

  63. Bonjour, sur les dossiers concernant Léon et Marguerite ZELCER, vous notez « refoulé des côtes bretonnes ». S’agit-il de votre propre formulation ou d’une expression trouvée dans des documents ? Par ailleurs, concernant Rachel SZLACHTUZ vous indiquez arrivée à Douarnenez 6 rue Anatole France le 19 juin 1940 (524W17) et départ de Douarnenez à destination du Mans le 4 juillet 1940 (524W17), mais le document de référence mis en lien ne porte pas de nom de famille, pouvez-vous m’assurer que cette information la concerne ? Ces questions, car je prépare, pour une revue d’histoire locale, une biographie des personnes juives ayant résidé à Douarnenez, avant leur déportation. Merci infiniment.

  64. Hélène dit :

    Bravo pour votre magnifique travail

    • Geneviève courtes dit :

      J attends de Caen les sources que vous signalez sur simone blass convoi 62 sur laquelle j ai produit un article sous le nom de Sarah blassl adresse au mans est fausse

  65. genevieve courtes dit :

    je ne sais pas utiliser facebook à propos de simone blass convoi 62 et vos nouvelles sources de novembre 2015 de caen

  66. gagaismine dit :

    Je trouve votre site que j’apprécie beaucoup parce que vous sortez de l’anonymat ces braves personnes qui font partie de ma famille humaine. Je recherchais Aron Skrobek dit David Kutner, Juif Polonais NN né le 14/1/94 mort à Natzweiler le 21/7/43. Mes sites point com natzweiler-struthof et callmeandre

  67. Louis Dupleix dit :

    Bonjour, je vous signale une erreur dans la fiche de Georgette BLUM (née LEVEN). Son premier mari s’appelait Jacques Georges GILLES et non Gilles Jacques ROGER. Il était sous-lieutenant au 2e groupe d’aviation du 42e Régiment d’Artillerie, mort le 28 septembre 1918 au nord-est de Auve (Marne). Il a été tué d’une balle en plein poumon alors qu’il survolait les lignes allemandes.

    Ces informations me viennent d’une lettre de la mère de Georgette à mon arrière grand-père Pierre Rousseau Vellones. Il correspondaient depuis que mon arrière-grand-père leur avait annoncé la mort de son ami Jacques LEVEN, le frère de Georgette, en 1914.

  68. John T dit :

    Merci pour ça. C’est fantastique. Je suis l’arrière petit fils de Ernst Teltsch (cité dans les déportés de Tuffee). Hanus, le fils d’Ernst et frère de Thomas, est mon grand pere. Nous habitions à les etats unis. Je me tellement apprècie cette researche ici. Beaucoup

    • Merci beaucoup d’avoir apprécié les recherches concernant votre arrière grand père et votre grand oncle. Cela nous a beaucoup touché car ils ont été arrêtés dans le village que j’habite. Votre grand père vous en a peut-être parlé. C’est un homme au destin et aux qualités extraordinaires. Je suis fier de l’avoir connu et de pouvoir vous être utile.
      Je suis à votre disposition pour d’autres informations. Si vous venez en France je serai heureux de vous rencontrer.
      Bien à vous.

  69. Eliane-Claire POULMARC'H-LEFEVRE dit :

    Bonjour, la FONDATION POUR LA MEMOIRE DE LA DEPORTATION et les Amis de la FONDATION POUR LA MEMOIRE DE LA DEPORTATION dont je suis Présidente pour le département des Côtes d’Armor, fait des recherches avec un chercheur professeur d’histoire sur les Juifs passés par le 22 puis envoyés dans la Sarthe afin de compléter nos recherches nous aimerions joindre des photos de ces familles Juives, nous autorisez-vous de les prendre sur votre site ( avec mention de la source bien sûr) afin de nous éviter de nous déplacer aux archives;
    Merci et si nous pouvons vous renseigner n’hésitez pas à nous le demander.
    cordialement,
    Eliane-Claire POULMARC’H-LEFEVRE

    • Bonjour,
      Je vous joins la réponse que je viens de faire à M. Jimmy Tual :
      La majorité des informations concernant les déportés juifs passés par les Côtes d’Armor proviennent des Archives Départementales de la Sarthe. Or je signe tous les ans un « contrat de licence gratuite de réutilisation des données publiques dans le cadre d’une activité à caractère scientifique ou pédagogique » qui précise que « je ne peux céder à des tiers le droit de réutiliser les données que j’ai obtenu par la présente licence « . Ca peut paraître administratif et tatillon mais je pense malheureusement pour vous que si vous souhaitez utiliser ces informations il vous faudra soit créer un lien vers les articles de mon site qui vous intéressent soit venir aux Archives de la Sarthe et vous y déclarer lecteur. Dans tous les cas la gratuité n’est accordée qu’en cas de publication par internet ne donnant pas lieu à recette commerciale ou publicitaire.
      Je suis vraiment désolé de vous faire ce type de réponse mais je ne suis pas maître des conditions que nous impose les Archives Départementales de la Sarthe.
      J’avais moi-même retrouvé des traces de ces personnes dans le livre-mémorial de Marie-Pierre et Pierre Klein. Si vous aviez des informations supplémentaires concernant ces déportés je serai très heureux de les ajouter sur le site ou si les conditions des archives des Côtes d’Armor sont aussi restrictives que celles de la Sarthe en m’y rendant personnellement.
      Bien à vous.

  70. TUAL Jimmy dit :

    Bonjour, bravo pour tout le travail de recherche effectué ! Je fais partie des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation des Côtes-d’Armor (A.F.M.D. 22). J’ai retrouvé plusieurs victimes des persécutions racistes liées aux Côtes-d’Armor sur votre site. Dans quelle mesure pouvons-nous utiliser vos infos et notamment les photos ? Par exemple sur le site memorial genweb si je leur crée des fiches… Si oui, quoi mettre en source ? Votre nom Yves MOREAU ?

    Cordialement, Jimmy TUAL.

    • Bonjour,
      La majorité des informations concernant les déportés juifs passés par les Côtes d’Armor proviennent des Archives Départementales de la Sarthe. Or je signe tous les ans un « contrat de licence gratuite de réutilisation des données publiques dans le cadre d’une activité à caractère scientifique ou pédagogique » qui précise que « je ne peux céder à des tiers le droit de réutiliser les données que j’ai obtenu par la présente licence « . Ca peut paraître administratif et tatillon mais je pense malheureusement pour vous que si vous souhaitez utiliser ces informations il vous faudra soit créer un lien vers les articles de mon site qui vous intéressent soit venir aux Archives de la Sarthe et vous y déclarer lecteur. Dans tous les cas la gratuité n’est accordée qu’en cas de publication par internet ne donnant pas lieu à recette commerciale ou publicitaire.
      Je suis vraiment désolé de vous faire ce type de réponse mais je ne suis pas maître des conditions que nous impose les Archives Départementales de la Sarthe.
      Bien à vous.

  71. eric jozsef dit :

    Cher Yves Moreau, je vous remercie infiniment pour votre travail remarquable. J’ai trouvé sur le site des documents concernant ma grand mère Sarah Jozsef (orthographiée par erreur Joszef) et ses trois enfants dont mon père Robert Claude. Je me permets de vous déranger pour savoir si par hasard vous aviez des informations concernant
    1/ Marie Glowinska, la mère de Sarah Jozsef qui était, semble-t-il, cachée avec elle dans la Sarthe
    2/ S’il existe des traces de la présence de mon père, de son frère Jean-Jacques, de sasoeur Hélène, dans des archives communales ou scolaires de Saint-Mixent ou La Ferté-Bernard
    3/ Enfin, j’aimerais énormément trouver des informations sur la ou les personnes qui au « Bourg de Saint-Mixent » les ont aidés à se cacher durant tous ces mois.
    Par avance, un grand merci
    Eric Jozsef
    e.jozsef@mclink.it

  72. Busson dit :

    Bonjour, félicitation pour vos travaux. Mes parents justes parmi les nations ont hébergés des enfants de confession juive pendant l’occupation à Mansigné; Voilà de quoi alimenter votre travail

  73. durecu dit :

    je suis arrière petit fils de smil wainstain mort a Auschwitz.si vous avez des renseignements.merci.

    • Je suis vraiment désolé mais je n’ai pas trouvé ce nom au cours de mes recherches. Par contre j’ai été contacté par le docteur Claude Wainstrain qui est un homonyme de votre grand-père. Peut-être est-il de sa famille? Je vous envoie son adresse par mail séparé.

  74. olivier kantorowicz dit :

    je suis le petit fils de mme Kantorowicz Szejna. Je tenais a vous feliciter.Vous avez effectue un tres bon travail. Grace a vous sa carte d identite figure sur votre site et nous avons appris des elements nouveaux. Nous avons aussi pris connaissance de sa photo qui nous etait inconnue jusqu a present. il est indique que son fils michel est ne en juin 40 alors qu il s agit de mars 40. Aussi ma grand mere est rentree a Paris ensuite et par chance n a pas etait deportee. Malheureusement son mari l a etait et son fils aine est mort dans la resistance.

    • Merci monsieur. J’ai corrigé la date de naissance de Michel et j’ai rajouté quelques documents. J’ai trouvé au mémorial son mari Symcha mais pas son fils ainé Israël car en tant que résistant il n’est pas pris en compte dans la shoah.

      • olivier kantorowicz dit :

        c est sur surtout qu il a du prendre un nom emprunt . Il a donc ete difficile pour nous de connaitre les circonstances de sa mort.

  75. Lily dit :

    Je souhaite vous faire part de la nomination comme justes à Yad Vashem de la famille Georges et Yvonne Marie (voisins des Côme) à Lavaré. Ils ont accueilli la famille Liberman et grâce à eux je suis là.

    • Merci de cette information. Il faudra que je fasse une rubrique pour les Justes de Sarthe. Je connais bien Charles Cimerman qui a acheté la maison des Côme et y vient régulièrement. Accepteriez vous que je fasse figurer la famille Liberman sur mon site au titre des personnes cachées?

    • Patrick Klebaner dit :

      Merci pour eux. Je reviens de Yad Vashem et vous avez fait une démarche qui vous honore également.

  76. weinstein dit :

    Bonjour je viens de découvrir des documents que vous avez mis en ligne de mon arrière-grand mère paternel que nous n’avions pas comment avoir des copies des originaux

    Malka LIOUBAROFF née ROUSABREW

    merci pour votre reponse

    • Bonjour,
      Tous les documents que j’ai fait figurer proviennent des Archives Départementales de la Sarthe à la cote 4M462 comme indiqué sur mon site. Si vous vous déplacez au Mans je veux bien vous accompagner pour vous apporter mon aide.
      Bien à vous

  77. DAVID liliane dit :

    je vous remercie de m’avoir répondu, mais c’était juste pour dire les déboires de maman et moi même. Car je n’ai plus l’envie ni la force de m’occuper d’indemnisation. à ce jour. maman a tout perdu elle était toujours très malade je me suis occupée d’elle jusqu’à la fin de sa vie. Car les dernières années étaient très difficile elle était 24 h sur 24 sous oxygène.Je suis veuve cela va faire 3 ans le 20 juillet. Mais sincèrement merci. De toutes façons 34 bd de la villette l’immeuble n’existe plus. alors…..Je suis moi même très fatiguée

  78. DAVID liliane dit :

    je suis contente de voir ma maman sur internet sara dajczer veuve szabmacher elle a perdu tout ses biens sans aucune compensation à paris 34 boulevard de la villette

    • Merci. Si vous avez d’autres informations que je puisse mettre sur le site merci d’avance. Je pense que votre mère n’a pas été déportée et que vous êtes née après 1943 car je n’ai trace d’une fille Liliane dans mes recherches.
      Bien à vous

      • DAVID liliane dit :

        Merci pour votre e.mail, vous avez raison j’ai eu un demi frère charles szabmacher qui est né le 20 septembre 31 et décédé en 1998. Je suis née en 1944 d’un père monsieur lesourd Yves elle était réfugiée chez lui et l’a quitté peu après. J’ai été élevée par ma maman , je suis juive de coeur et dans mon ame , je n’ai connu que la famille de maman frères et soeurs et cousins cousines. Maman est venu à toulon avec moi en 1953 car elle est venu pour rejoindre mon frère charles qui était à ce moment là engagé dans la marine nationale de toulon. En 1961 nous nous sommes rendu au tribunal de cologne en Allemagne mais pour toucher c’était trop tard. Toute la famille a bénéficié du widergudmarung . Elle m’a déclaré dans la Sarthe à vibraye 72 en 1945 , mais je ne sais pas la raison avant on ne pensait pas de questions à ses parents. Si vous avez de plus amples renseignements je serai heureuse de le savoirJe suis née le 19 juillet 1944.Elle a eu à nouveau sa pension de veuve de guerre en 1955 entre temps elle a travaillé pour m’élever.

      • CAHEN Olivier dit :

        il existe depuis plusieurs années à Paris ( créée sous Chirac-Jospin ) une commission d’indemnisation des spoliations concernant les juifs et descendants ( non indemnisés par l’allemagne) . Il faut présenter un dossier ( commission ratachée aux services du premier ministre)

  79. Patrick Klebaner dit :

    Bonjour,

    J’ai interrogé ma cousine (84 ans) qui n’a pas souvenir du nom « Marcovici ». En revanche, elle se souvient très bien que l’on est venu chercher aux Ets Rustin, une femme et sa petite fille. Peut-être était-ce Berta Marcovici et sa fille?
    D’autre part, j’ ai fait une erreur concernant l’école qui a accueilli ma cousine : il s’agissait en réalité d’un collège publique (à l’époque Cours complémentaire) situé dans l’environnement du Chatre sur le Loir.
    Encore bravo pour votre travail.

    • Parmi les personnes présentes à cette époque à La Chartre sur le Loir il y avait Aron BOES, Julien et Oscar HIRSCH et je viens de trouver Chil ROSENBERG. Je ne sais si ces noms disent quelque chose à votre cousine. Plus de 70 ans après c’est un peu difficile

  80. Patrick Klebaner dit :

    Bonjour,

    Une belle-soeur de mon père (un de mes tantes) a été « cachée » avec ses filles au Chatre sur le Loir par M.Rustin, le patron de l’usine fabrisquant les rustines. Elle travaillait déjà pour cette entreprise et M.Rustin l’a emmenée avec lui lorsqu’il a rapatrié ses bureaux dans la Sarthe. De même, la fille aînée de ma tante aété accueillie dans une école tenue par des soeurs (qui savaient que c’était une enfant juive). Elles ont ainsi été sauvées de la déportation.
    Aviez-vous connaissance de ce fait ?
    Merci et bravo pour votre travail.

    Patrick Klebaner

    • Bonjour,
      Merci de vos informations. J’ignorai ce fait. La seule personne recencée sur mon site et qui travaillait aux établissements Rustin est Berta MARCOVICI. Est-elle parente avec vous?

      • Patrick Klebaner dit :

        Bonjour, merci pour votre réponse. Non, je n’avais pas connaissance de Berta Marcovici, mais je demanderai à ma cousine germaine qui était réfugiée avec sa mère (et donc aussi la grand-mère, ce que j’ai découvert grâce à vous et je vous remercie d’avoir rectifié son nom). Elle était petite (9 ans en 1940) mais peut-être se souvient-elle de cette personne.

  81. Florent Clavel dit :

    Bonjour, Je suis journaliste à LMtv Sarthe, la télé locale. Je cherche à joindre M. Cahen. Auriez-vous ses coordonnées ? Merci, Florent Clavel 06 41 93 53 42.

  82. JOFFE Thibaud dit :

    Merci pour tout ce travail, cela m’a permis de trouver des infos supplémentaires en plus des documents d’état civil laissés par mon père.
    Cherche des infos supplémentaires sur mes grand parents paternels JOFFE Zalhman et Starck Marguerite et ma tante JOFFE Paulette morte en déportation en 1943

  83. DUBOIS dit :

    Bonjour M Moreau, nous sommes un centre de formation d’apprentis (CCI Le Mans Sarthe) et nous travaillons sur un projet en histoire qui porte sur la déportation des juifs durant la 2nde Guerre mondiale. Dans le cadre de ce projet en lien avec le Conseil Régional, la visite du Mémorial de la Shoah et d’Auschwitz-Birkenau est prévue en février 2014 . Un travail préparatoire doit être réalisé en lien avec l’histoire locale. Nous souhaiterions nous appuyer sur vos connaissances sur ces événements locaux pour nous conseiller et échanger avec nos jeunes.
    Nous espérons vous rencontrer pour échanger sur ce projet.
    Cordialement
    Véronique Brossier Formatrice Histoire-géo vbrossier@edu.cciformation.net
    Sophie Dubois Conseillère pédagogique sdubois@cciformation.net
    02 43 40 60 84

    • Je suis à votre disposition pour une rencontre après les vacances, je suppose. Dans un premier temps je souhaiterai vous m’entretenir avec vous afin de définir ce que vous souhaitez, quand et comment.
      Bien à vous.

  84. Brilleaud Marie dit :

    Monsieur Moreau,
    je me souviens quand vous étiez entré en contact avec moi à propos d’informations que vous aviez sur ma famille. Malheureusement, sur votre page que je viens de trouver tout à fait par hasard,des erreurs ont été faites et j’aimerais que vous me contactiez pour faire des rectifications.

    Sincèrement.

  85. REINBOLD hervé dit :

    j’ai fait une recherche via google qui me redirige vers votre site. Dans le resumé qui s’affiche de ma recherche j’ai cela qui apparait mais je ne trouve rien sur votre fiche. Cette personne pourrait correspondre a quelqu’un de ma famille. voila ce que je trouve en résumé sur google sous votre lien mais que je ne trouve pas sur le site :

    « recensée comme catholique sur déclaration n° 1 du 12 octobre 1940 (616W109) ….. Lors de cette opération policière, M. Jean Blum en promenade dans le parc de …… le 24 août 1940 ; précedemment il était domicilié rue de Saverne à Brumath …… Il arrive à se faire embaucher dans un atelier de mécanique, situé aux … »

  86. Yagil, Limore dit :

    Je suis intéressée par le travail sur les juifs au Mans, et en particulier par des informations qui relatent l’aide aux juifs dans les départements de la Sarthe et de la Mayenne.
    J’ai publié dans la Revue d’histoire Guerre Mondiale et Conflits Contemporains, un article sur le sauvetage des juifs dans la Sarthe, en 2010, et un complément d’informations se trouve dans mon ouvrage : La France terre de refuge et de désobéissance civile 1936-1944: l’exemple du sauvetage des juifs, Cerf 2010-2011.

    Voici mon mail: ylimore@yahoo.fr
    Je remercie d’avance toute personne qui acceptera de me fournir des informations.
    Limore Yagil
    Historienne

  87. Hublin dit :

    merci beaucoup pour votre site et le travail de recherches effectué. Je vous suis très reconnaissante de m’avoir permis la déclaration aux autorités de la tante de mon mari Jouar Salomon née Zimero et son fils Jacques. Non déportés, ils ont en effet échappé aux arrestations, protégés par Emile Landais, garagiste au Mans qui les cacha dans sa maison de Sillé Le Philippe, puis à la suite d’une dénonciation, ils furent cachés dans la ferme de la famille Barrié . Ces renseignements m’ont été donnés par Jacques avant son décès en 2012. J’ai l’intention d’écrirel’histoire de cette famille pendant la guerre.
    Cordialement
    Martine Hublin

    • Gérard Guitton dit :

      Bonjour Madame, mes parents habitaient la maison en face de celle de Mr et Mmme Landais et de Jacques à Sillé-le-Philippe. Ce furent des voisins d’une extraordinaire gentillesse.Ils sont inhumés au cimetière de Sillé-le-Philippe à coté de la tombe de mes grands-parents paternels .Si cela est possible ,je voudrais que vous m’adressiez un exemplaire du livre que vous avez l’intention d’écrire sur cette famille que mes parents et moi liront avec émotion.
      Avec tous mes remerciements.
      Gérard Guitton

      • Hublin Martine dit :

        Bonjour Monsieur, très heureuse que vous me contactiez et d’apprendre que vous connaissiez si bien cette famille. J’ai très bien connu cette maison de Sillé où nous étions si bien reçus. J’ai écrit une douzaine de pages en hommage à Jacques, c’est son histoire et celle de notre famille surtout pendant la guerre, je vous les ferai parvenir avec plaisir. Peut être pourrez-vous m’apporter des informations que je n’ai pas eues.
        très cordialement
        Martine Hublin

  88. claude wainstain dit :

    A propos de Meyer Garelick :
    Les Garelick était voisins de ma mère, au 14 rue Rambuteau à Paris. Ils étaient fourreurs. Un jour, peu après la rafle de 1942, leur fille a montré à ma mère un papier rose, – elles étaient du même âge, une vingtaine d’années, – lui expliquant qu’en travaillant dans la fourrure, réquisitionnée pour l’armée allemande, on bénéficiait d’un laisser-passer qui protégeait les membres de sa famille.
    Ma mère a donc réussi à se faire embaucher comme « ouvrière fourreuse ». Tout a bien fonctionné jusqu’au 19 mars 1943, date où ces ouvrières et leurs familles ont été arrêtées et internées à Drancy.
    Le lundi suivant, par miracle, toutes étaient libérées. La population de Drancy les attendait même à la porte du camp avec de la nourriture.
    Je suppose qu’il y avait eu maldonne avec les autorités allemandes, et qu’elles avaient été arrêtées pour compléter un convoi de 1000 personnes avec les Juifs raflés en zone Sud et arrivés du Camp de Compiègne, qui ne faisaient pas le nombre.
    Après la guerre, les Garelick habitaient toujours 14 rue Rambuteau, et mon plus ancien souvenir, je devais avoir 2 ans 1/2, est d’avoir assisté à un mariage dans leur logement, assis sous la table…
    L’histoire de ces quatre jours passés à Drancy ne semble pas avoir été écrite.

    Merci et félicitations pour votre remarquable travail.
    Dr Claude WAINSTAIN
    auteur de « Judéopostale » Biro éd. Paris 2007

  89. Avec l’aide de sa famille survivante, j’ai écrit la biographie de Hersz Pawlowski, qui après avoir échappé des rafles de la Sarthe, combattit au sein des FTP-MOI parisiens du groupe Manouchian, puis avec les mineurs polonais du bassin minier de Montceau, en Saône-et-Loire. Il y fut arrêté le 7 octobre 1943 et mourut aux mains des Allemands à Chalon-sur-Saône, le 13 novembre 1943. Je propose de vous envoyer cet article, et serais désireux d’obtenir quelques précisions sur les documents figurant aux archives départementales de la Sarthe… Comment dialoguer avec vous ?
    Gérard Soufflet – Paris (mail : gerard.soufflet@free.fr)

  90. szmerla dit :

    je suis le fils de MONSEUR SZMERLA ISAAC,cet arlicle et t il vrai?merci d une reponse.roger’ szmerla.

    • Toutes les informations sur le site concernant votre père proviennent des archives départementales de la Sarthe, département où se trouvait votre père pendant la guerre. Je suis à votre disposition pour vous fournir toutes informations.

  91. DONNÉ Jacqueline née GOLDSTEIN dit :

    Bonjour,

    Je suis la fille de Avram GOLDSTEIN et je souhaiterais que vous me contactiez au 0243765190 afin que vous apportiez une correction à l’une des informations concernant mon père.
    Je vous en remercie par avance.
    J. DONNÉ

  92. LAGREE Thierry dit :

    Bonjour,
    Je suis le petit fils de Raphael LEVY (cité dans les non déportés). Vous avez quelques informations que j’aimerais vérifié avec vous.

    Cordialement,

  93. Dr CAHEN Olivier dit :

    si vous me communiquez votre e-mail par courriel je vous adresserai la partie de ma conférence sur l’histoire des juifs du Mans qui vous concerne avec le document de travail. J’ai renoncé à éditer ou à faire des articles comme proposé mais je suis sensible à votre travail de mémoire (pour ma part famille de Moselle : 19 victimes de la Shoah :voir site judaïsme alsacien et lorrain)
    Cordialement

    • Ide Marie-Aimée dit :

      Monsieur Cahen,
      votre texte m’intéresse. je suis en contact avec Yves Moreau.Un reportage passe d’ailleurs sur son travail ce soir 3 juillet à 19h15 sur France 3 Maine.

      • Olivier Cahen dit :

        Message reçu à 01h30…le 4/7…
        Vous pouvez me contacter directement si besoin. Y.M. a mon adresse e-mail.

    • Annie Claire Blum dit :

      Bonjour,
      Je fais des recherches généalogiques sur ma famille et votre épouse Alice Blum en faisait partie. Sa grand-mère, Pauline Haaker était la soeur de mon arrière-grand-père Marx Bigar (Bickart). J’aimerais vous poser quelques questions si cela ne vous ennuie pas. Merci d’avance.
      Annie Claire Blum

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